Pour la deuxième année d’affilée la France est le pays qui a le plus attiré d’investissements étrangers. Une donnée pipée par le contexte économique global tandis que le Royaume Uni, malgré le Brexit, est en deuxième position.

Dans la campagne de vaccination nationale, une nouvelle étape a été franchie concernant les professions concernées. Tous les métiers qui ont une activité en interaction avec le public sont désormais en ligne de mire.

Il n’y a pas si longtemps AOL et Yahoo étaient les pionner de l’internet, l’annonce de leur vente pour 5 milliards d’euros par Verizon, qui avait déboursé en cumulé 9 milliards pour les acheter respectivement en 2015 et 2017.

Des manifestants se sont rassemblés à proximité du Conseil constitutionnel pour montrer leur mécontentement face à la décision de valider le passe sanitaire dans ses grandes lignes. Aux opposants traditionnels, les syndicats ont joint leur voix concernant la possibilité de suspendre un contrat de travail sans rémunération.

Le groupe américain met les collectivités locales et partis politiques face au paradoxe Amazon. Alors que l’annonce de l’installation d’un entrepôt avait été critiqué, le groupe promet 1 000 CDI créés dans les trois prochaines années.

Toshiba annoncé étudier une offre de rachat proposée par le britannique CVC Capital Partners pour 20 milliards de dollars. Après de grosses difficultés et des ventes en séries, le groupe est en meilleure position.

Sur le papier, les publics autorisés à se faire vacciner continue à s’élargir et en parallèle les professionnels de santé qui peuvent les administrer. L’ouverture aux pharmaciens, médecins et sages-femmes, si les quantités de doses suivent, pourraient nettement accélérer le rythme.

Dans une note d’analyse le FMI affirme que les « mesures résolues de l’État sont indispensables pour permettre le lancement rapide de vastes campagnes de vaccination ».

La Banque de France alerte sur les risques pour notre économie que représente l’endettement massif et généralisé des entreprises. Un péril d’autant plus sérieux que l’activité ne reprend pas d’un bond comme espéré.