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Le rebond tarde à arriver et cela déroute les analystes. La Banque de France le souligne dans sa dernière analyse. L’institution dans son rapport semestriel alerte sur les risques de l’endettement des entreprises depuis le premier confinement. « Ce risque, déjà pointé lors de précédents rapports, est particulièrement important en cas d'une reprise lente de l'activité économique, qui compliquerait le remboursement des dettes contractées au printemps pour faire face au choc de trésorerie associé au premier confinement. Il serait « de nature à dégrader fortement la situation financière des entreprises les plus fragiles », a souligné la banque centrale dans son rapport semestriel sur l'évaluation des risques du système financier français. Un tel scénario, avec « une augmentation importante des défauts des sociétés non financières serait de nature à peser sur les résultats des banques, via une augmentation des pertes et provisions » » rapporte Le Figaro.
C’est le principal risque, d’autant plus qu’il s’accentuera tant que l’activité économique n’aura pas retrouvé un niveau équivalent à celui de 2019. Pour le reste, la Banque de France estime que le risque de crise financière, qui avait été considéré en hausse en juin, n’a pas augmenté les mois suivants.
Aux Etats-Unis la Banque centrale avait prédit dès le début de l’épidémie que la reprise totale de l’activité ne pourrait avoir lieu tant que des vaccins n’auraient pas été mis au point. Près d’un an plus tard, alors que les vaccins sont en cours de déploiement, on comprend qu’il faudra plusieurs mois pour que ces derniers permettent d’éloigner le risque de nouveaux confinements et espérer un retour à la normale.
« Parmi les autres risques à surveiller, la Banque de France a également attiré l'attention sur les taux d'intérêt qui devraient rester bas ainsi que sur le changement climatique et la numérisation de l'économie, qui fait encourir des risques de cyberattaques » poursuit Le Figaro.
C’est le principal risque, d’autant plus qu’il s’accentuera tant que l’activité économique n’aura pas retrouvé un niveau équivalent à celui de 2019. Pour le reste, la Banque de France estime que le risque de crise financière, qui avait été considéré en hausse en juin, n’a pas augmenté les mois suivants.
Aux Etats-Unis la Banque centrale avait prédit dès le début de l’épidémie que la reprise totale de l’activité ne pourrait avoir lieu tant que des vaccins n’auraient pas été mis au point. Près d’un an plus tard, alors que les vaccins sont en cours de déploiement, on comprend qu’il faudra plusieurs mois pour que ces derniers permettent d’éloigner le risque de nouveaux confinements et espérer un retour à la normale.
« Parmi les autres risques à surveiller, la Banque de France a également attiré l'attention sur les taux d'intérêt qui devraient rester bas ainsi que sur le changement climatique et la numérisation de l'économie, qui fait encourir des risques de cyberattaques » poursuit Le Figaro.
