Comme nouveau dispositif de soutien aux entreprises, l’État annonce que dix jours de congés payés pourront être pris en charge. Sont concernés les sociétés des secteurs les plus touchés par la crise.

Alors que les entreprises attendent la véritable relance pour faire le bilan des dégâts, la casse sociale ne fait aucun doute dans la plupart des secteurs. Plans sociaux, licenciements absence de recrutement avant des mois, des conflits sociaux se profilent à tous les niveaux.

Le deuxième confinement coule un peu plus sur le secteur automobile qui allait déjà très mal. Au niveau européen, le marché automobile enregistre une baisse de 27% pour les dix premiers mois de 2020, alors que les mois de novembre et décembre s’annoncent catastrophiques.

Le ralentissement global de l’activité économique est un coup dur pour tous les pays. Mais, d’après l’OMC, ce sont surtout les pays les moins avancés qui vont faire les frais de cette situation.

Le groupe Printemps a présenté son plan de relance et annonce que quatre magasins Printemps et trois Citadium vont fermer. L’objectif est de réduire les pertes opérationnelles avec des suppressions d’emplois d’ici 2021.

Dans une tribune publiée par Le Monde l’association Garantie sociale du chef d’entreprise (GSC) s’inquiète des dégâts que le confinement actuel va provoquer pour les entrepreneurs. Tablant sur des effets sur au moins un demi-million de personnes -entrepreneurs et leurs familles – le texte voit dans notre système social le dernier rempart possible.

Alors que l’on s’interroge sur l’impact économique du télétravail et sa généralisation en période de crise sanitaire, les études, analyses et expériences se contredisent en la matière. La réponse dépend largement des personnes.

Face aux sanctions américaines, Huaweï cherche à replacer les partenaires et sous-traitants américains. Pour les puces un opérateur a été sélectionné à Shanghai. Le tournant risque d’être turbulent mais les premiers pas vers l’indépendance totale du groupe sont en ligne de mire.

Le contrat de fusion avec Tiffany a été finalement modifié et le prix de l’action revue à la baisse. Mais LVMH va mener à bout l’opération d’acquisition de Tiffany après des mois de retard dans un contexte économique complexe.