Pas de vaccin, pas d’avion. La mesure est très sérieusement envisagée par la compagnie aérienne australienne Qantas. Ses responsables l’ont annoncé très clairement, pour les voyageurs internationaux, ils envisagent de demander comme préalable avant de monter à bord de prouver qu’ils ont été vaccinés contre le Covid-19 lorsque cela sera possible.
« Pour les voyageurs internationaux arrivant en Australie et pour les gens qui quittent le pays, nous pensons que c'est une nécessité", a-t-il poursuivi, soulignant que son groupe étudiait aussi la possibilité de mettre en place cette obligation sur les vols intérieurs. Evidemment, la vaccination ne deviendra obligatoire qu'une fois un vaccin disponible pour le grand public » a déclaré le patron de la société, Alan Joyce, à la télévision locale Channel Nine.
« Qantas est le premier grand groupe aérien à annoncer cette vaccination obligatoire mais les instances internationales de l'aérien réfléchissent à une mise en place de carnets de vaccination, d'abord dans les pays peu touchés par le virus pour éviter une nouvelle épidémie. "Pouvoir disposer d'informations vérifiables sur l'état de santé des passagers, je pense que cela va être essentiel" a ainsi déclaré David Powell, conseiller médical de L'Association internationale du transport aérien (IATA). Pour le moment, les compagnies du monde entier évitent de trop s'avancer sur la vaccination. Il faudra encore des mois avant que les campagnes de vaccination ne se généralisent, notamment en Europe ou aux Etats-Unis » raconte BFMTV. Easy Jet a fait savoir qu’il ne l’imposerait pas sur ses vols tandis que Japan Arilines a expliqué ne pas l’avoir envisagé.
L’annonce est forte et veut marquer les esprits. Dans un secteur aérien qui cherche à redémarrer, on comprend que des déclarations fracassantes de ce type cherchent à marquer les esprits. A annoncer haut et fort que les voyageurs ne risquent rien et peuvent reprendre d’assaut les appareils. Néanmoins on peut douter de l’efficacité d’une telle contrainte tandis que l’urgence pour l’aérien est de systématiser les tests rapides en aéroport. A quoi bon être vacciné si on est déclaré négatif ?
« Pour les voyageurs internationaux arrivant en Australie et pour les gens qui quittent le pays, nous pensons que c'est une nécessité", a-t-il poursuivi, soulignant que son groupe étudiait aussi la possibilité de mettre en place cette obligation sur les vols intérieurs. Evidemment, la vaccination ne deviendra obligatoire qu'une fois un vaccin disponible pour le grand public » a déclaré le patron de la société, Alan Joyce, à la télévision locale Channel Nine.
« Qantas est le premier grand groupe aérien à annoncer cette vaccination obligatoire mais les instances internationales de l'aérien réfléchissent à une mise en place de carnets de vaccination, d'abord dans les pays peu touchés par le virus pour éviter une nouvelle épidémie. "Pouvoir disposer d'informations vérifiables sur l'état de santé des passagers, je pense que cela va être essentiel" a ainsi déclaré David Powell, conseiller médical de L'Association internationale du transport aérien (IATA). Pour le moment, les compagnies du monde entier évitent de trop s'avancer sur la vaccination. Il faudra encore des mois avant que les campagnes de vaccination ne se généralisent, notamment en Europe ou aux Etats-Unis » raconte BFMTV. Easy Jet a fait savoir qu’il ne l’imposerait pas sur ses vols tandis que Japan Arilines a expliqué ne pas l’avoir envisagé.
L’annonce est forte et veut marquer les esprits. Dans un secteur aérien qui cherche à redémarrer, on comprend que des déclarations fracassantes de ce type cherchent à marquer les esprits. A annoncer haut et fort que les voyageurs ne risquent rien et peuvent reprendre d’assaut les appareils. Néanmoins on peut douter de l’efficacité d’une telle contrainte tandis que l’urgence pour l’aérien est de systématiser les tests rapides en aéroport. A quoi bon être vacciné si on est déclaré négatif ?