PSA Peugeot Citroën est de retour dans le CAC 49 après une absence remarquée de plus de deux ans. La nouvelle a été très bien accueillie par la direction du groupe qui a fait savoir à l’AFP que sa présence dans ce club très fermé des grosses entreprises françaises « est très important pour notre groupe car c'est rassurant pour les investisseurs. »
Comme cela est prévu, c’est le Conseil scientifique des indices qui a pris cette décision. Elle devrait être effective à partir du lundi 23 mars. « Ce retour suit de près celui de l'équipementier automobile Valeo, qui a été réintégré au CAC 40 en juin 2014 après 13 années d'absence » rappelle l’Agence France presse, dans une dépêche à ce sujet.
Comme cela est prévu, c’est le Conseil scientifique des indices qui a pris cette décision. Elle devrait être effective à partir du lundi 23 mars. « Ce retour suit de près celui de l'équipementier automobile Valeo, qui a été réintégré au CAC 40 en juin 2014 après 13 années d'absence » rappelle l’Agence France presse, dans une dépêche à ce sujet.
Bon pour la notoriété
« Cela nous permet d'accroître notre notoriété à l'international en bénéficiant d'un meilleur suivi par la communauté financière (…) ce retour dans le CAC 40 permet d'accompagner l'internationalisation du groupe qui est un élément important du plan stratégique » a déclaré à l’AFP le porte-parole du groupe.
C’est surtout l’officialisation d’un renouveau pour le groupe. Rappelons que lorsque son départ avait été annoncé en septembre 2012, l’entreprise perdait beaucoup d’argent et avait demandé à l’Etat de venir à son aide.
PSA a aussi profité de la déception Gemalto qui a été secouée par des révélations sur des piratages de ses données confidentielles. Cette mauvaise publicité aurait achevé de bouter hors du CAC 40 le groupe, déjà dans l’embarras à cause d’objectifs très ambitieux et jugés intenables.
Pour l’AFP, « le retrait de Gemalto signe le départ d'une valeur technologique de l'indice, qui en compte peu à son actif. L'arrivée au CAC 40 de l'entreprise en décembre 2012 avait fait souffler un vent de modernité sur l'indice, plutôt habitué aux sociétés centenaires. »
C’est surtout l’officialisation d’un renouveau pour le groupe. Rappelons que lorsque son départ avait été annoncé en septembre 2012, l’entreprise perdait beaucoup d’argent et avait demandé à l’Etat de venir à son aide.
PSA a aussi profité de la déception Gemalto qui a été secouée par des révélations sur des piratages de ses données confidentielles. Cette mauvaise publicité aurait achevé de bouter hors du CAC 40 le groupe, déjà dans l’embarras à cause d’objectifs très ambitieux et jugés intenables.
Pour l’AFP, « le retrait de Gemalto signe le départ d'une valeur technologique de l'indice, qui en compte peu à son actif. L'arrivée au CAC 40 de l'entreprise en décembre 2012 avait fait souffler un vent de modernité sur l'indice, plutôt habitué aux sociétés centenaires. »