L’entreprenariat est une voie professionnelle de premier choix pour les jeunes. N’en déplaise aux clichés, les moins de trente ans démontrent une envie de monter leur entreprise, affirme une étude OpinionWay sur un échantillon de plus de mille personnes. « L'entrepreneuriat devient progressivement une piste professionnelle envisagée par les jeunes actifs qui ne délaissent pour autant pas le salariat. Les résultats nuancés de l'étude* menée par OpinionWay pour l'Union des auto-entrepreneurs et la fondation Le Roch Mousquetaires à l'occasion du prochain Salon des entrepreneurs, qui se déroulera à Paris les 1er et 2 février prochains, lèvent le voile sur ce paradoxe » avance L’Express .
44% des personnes interrogés répondent qu’ils ont auraient « probablement » envie de se mettre à leur compte alors que 16% répondent « certainement ». Mais si plus de la moitié manifeste ce désir, c’est avant tout l’insécurité liée au statut d’entrepreneur qui retient les plus hésitants. « L'étude ne dit pas précisément si cette envie se concrétisera un jour ou si elle restera au stade de projet dans l'esprit de ces jeunes gens mais, en tout cas, le chiffre interpelle et témoigne d'une évolution de la perception à l'égard de la création d'entreprise. 26% des sondés assurent tout de même qu'ils "envisagent" de sauter le pas dans les deux ans qui viennent » poursuit le magazine.
A l’inverse quasiment trois personnes sur quatre interrogées estiment qu’un CDI est un objectif majeur contre seulement un sur cinq qui affirment être moins attirés par un contrat de ce type. Plus que les revenus, c’est surtout la protection sociale et les obstacles au logement de l’indépendance professionnelle qui inquiète. Du côté des points positifs, outre la satisfaction d’être son propre patron, le choix de ses horaires et de son mode d’organisation sont les points positifs les plus souvent avancés.
44% des personnes interrogés répondent qu’ils ont auraient « probablement » envie de se mettre à leur compte alors que 16% répondent « certainement ». Mais si plus de la moitié manifeste ce désir, c’est avant tout l’insécurité liée au statut d’entrepreneur qui retient les plus hésitants. « L'étude ne dit pas précisément si cette envie se concrétisera un jour ou si elle restera au stade de projet dans l'esprit de ces jeunes gens mais, en tout cas, le chiffre interpelle et témoigne d'une évolution de la perception à l'égard de la création d'entreprise. 26% des sondés assurent tout de même qu'ils "envisagent" de sauter le pas dans les deux ans qui viennent » poursuit le magazine.
A l’inverse quasiment trois personnes sur quatre interrogées estiment qu’un CDI est un objectif majeur contre seulement un sur cinq qui affirment être moins attirés par un contrat de ce type. Plus que les revenus, c’est surtout la protection sociale et les obstacles au logement de l’indépendance professionnelle qui inquiète. Du côté des points positifs, outre la satisfaction d’être son propre patron, le choix de ses horaires et de son mode d’organisation sont les points positifs les plus souvent avancés.