Comme si la parenthèse Covid se refermait enfin aux États-Unis. « Avec une hausse de 6,5% au deuxième trimestre, le produit intérieur brut (PIB) des États-Unis est plus élevé qu'il ne l'était au quatrième trimestre 2019, le dernier à ne pas avoir été touché par la crise du Covid. Les prévisions tablent sur une croissance de 6,7% en 2021 et de 5% en 2022. Pour assurer une forte croissance pour les années futures, Joe Biden compte sur son plan d'investissement pharaonique, lequel fait des avancées au Sénat. Seule ombre au tableau, l'inflation. Celle-ci a progressé de 6,4% au deuxième trimestre. Pour l'heure, la banque centrale américaine (Fed) maintient ses taux directeurs. Portée par les bons résultats financiers de nombreuses entreprises, la Bourse progresse » explique La Tribune, dans l’introduction d’un long papier sur la situation économique du pays.
Le journal économique voit dans ces chiffres les résultats de la politique sanitaire et économique du pays. Même si l’exécutif américain espérait mieux : « La reprise de l'activité liée à la vaccination contre le Covid-19, et le dynamisme de la consommation suscité par les milliards de dollars distribués aux ménages depuis le début de l'année, ont porté leurs fruits. Au deuxième trimestre, c'est-à dire entre avril et fin juin, l'économie américaine a retrouvé son niveau d'avant-crise. Avec une hausse de 6,5% en rythme annualisé, certes moins que les 8,5% prévus par les analystes, le produit intérieur brut (PIB) est en effet plus élevé qu'il ne l'était au quatrième trimestre 2019, le dernier à ne pas avoir été touché par la crise du Covid. De justesse, puisque le montant total des biens et services vendus aux États-Unis a dépassé celui d'avant la pandémie de 0,8%, selon la première estimation du département du Commerce publiée jeudi ».
Ce niveau de croissance pour une économie post industrielle si près de la crise Covid est une prouesse. A titre de comparaison, la France vient d’annoncer une croissance de 0,9% pour le deuxième trimestre 2021.
Le journal économique voit dans ces chiffres les résultats de la politique sanitaire et économique du pays. Même si l’exécutif américain espérait mieux : « La reprise de l'activité liée à la vaccination contre le Covid-19, et le dynamisme de la consommation suscité par les milliards de dollars distribués aux ménages depuis le début de l'année, ont porté leurs fruits. Au deuxième trimestre, c'est-à dire entre avril et fin juin, l'économie américaine a retrouvé son niveau d'avant-crise. Avec une hausse de 6,5% en rythme annualisé, certes moins que les 8,5% prévus par les analystes, le produit intérieur brut (PIB) est en effet plus élevé qu'il ne l'était au quatrième trimestre 2019, le dernier à ne pas avoir été touché par la crise du Covid. De justesse, puisque le montant total des biens et services vendus aux États-Unis a dépassé celui d'avant la pandémie de 0,8%, selon la première estimation du département du Commerce publiée jeudi ».
Ce niveau de croissance pour une économie post industrielle si près de la crise Covid est une prouesse. A titre de comparaison, la France vient d’annoncer une croissance de 0,9% pour le deuxième trimestre 2021.