Puisque le baril est bas, plus il faut diminuer la production. La base des principes économiques motive les pays exportateurs de pétrole à se réunir au siège de l’Opep. A l’occasion du sommet de cette organisation à Vienne, les représentants vont tenter de se mettre d’accord pour mettre un terme à la chute des prix de l’or noir. « Le président russe Vladimir Poutine et le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane (MBS) ont déjà annoncé lors du G20 que l'accord de limitation de la production qui les lie depuis fin 2016 sera prolongé en 2019. Mais les ministres des deux géants du pétrole et de leurs partenaires, qui se réunissent jeudi et vendredi, vont désormais oeuvrer en vue d'affiner le contenu et tenter de regagner leur crédibilité auprès des marchés » raconte Boursorama.
En cumulé, tous les pays de l’Opep représentent plus de la moitié de la production mondiale de pétrole. Un accord aurait donc largement les moyens d’influencer les cours mondiaux. Des conséquences sur l’économie globale sont à attendre. En effet, continue l’article « s'ils continuent d'extraire de l'or noir à des niveaux record, ils risquent en effet de voir les prix continuer de flancher. Les cours du brut ont chuté de plus de 30% en deux mois et évoluent désormais autour de 60 dollars pour le baril de Brent - la référence européenne. Mais s'ils durcissent leur accord de limitation de leur production, ils pourraient mettre à mal la croissance mondiale, très dépendante d'un carburant à un prix abordable. »
La partie n’est pas jouée d’avance. La position des Etats-Unis est en effet clé et la Maison Blanche est vent debout contre une hausse des prix. Une position qui n’est – dans le principe - pas inamovible dans la mesure où une baisse trop importante serait préjudiciable pour le secteur pétrolier du pays.
En cumulé, tous les pays de l’Opep représentent plus de la moitié de la production mondiale de pétrole. Un accord aurait donc largement les moyens d’influencer les cours mondiaux. Des conséquences sur l’économie globale sont à attendre. En effet, continue l’article « s'ils continuent d'extraire de l'or noir à des niveaux record, ils risquent en effet de voir les prix continuer de flancher. Les cours du brut ont chuté de plus de 30% en deux mois et évoluent désormais autour de 60 dollars pour le baril de Brent - la référence européenne. Mais s'ils durcissent leur accord de limitation de leur production, ils pourraient mettre à mal la croissance mondiale, très dépendante d'un carburant à un prix abordable. »
La partie n’est pas jouée d’avance. La position des Etats-Unis est en effet clé et la Maison Blanche est vent debout contre une hausse des prix. Une position qui n’est – dans le principe - pas inamovible dans la mesure où une baisse trop importante serait préjudiciable pour le secteur pétrolier du pays.