Comme toutes les catégories d’âges, les 18-30 aspirent à devenir propriétaires de leur lieu d’habitation. Mais, si on en croit les résultats d’une enquête publiée par le réseau Guy Hoquet immobilier et réalisée par l’institut CSA, la situation est loin d’être favorable à cette tranche d’âge. En effet, il semble même que 43% des jeunes ont des difficultés à payer leur loyer.
Pas de CDI, pas de prêt
« L’enquête est édifiante, mais ne fait que confirmer un fait que l’on soupçonnait déjà. Dans un contexte économique morose et même si l’on perçoit une lueur à l’horizon, les entreprises hésitent à embaucher en CDI. Il y aurait ainsi 40 % des Français de la tranche d’âge 18 – 30 ans sous un contrat de travail précaire, de type CDD ou intérim. Difficile dans ce cas d’obtenir un prêt immobilier, les banques préférant les candidats emprunteurs avec CDI et ayant passé leur période d’essai, ou les fonctionnaires titularisés » commente le site dédié à l’immobilier Les clés du midi .
Pour ceux qui ne sont pas en contrat indéterminé, certaines banques acceptent tout de même de prêter si les candidats montrent qu’ils ont exercé une activité sans discontinuer durant l’année et demie précédente.
Par ailleurs, les jeunes entrent de plus en plus tard dans le monde du travail avec des salaires souvent modestes en début de carrière. La question de l’apport se pose donc : « Car en plus de disposer de la capacité de remboursement adéquate, il est nécessaire d’apporter un capital de départ, couvrant au moins les frais d’achat. Ainsi un logement ancien d’une valeur de 200 000 € coûtera environ 216 000 € à l’achat, principalement à cause des droits de mutation. Pour un logement neuf il faudra tabler sur environ 208 000 €, mais pour une plus petite surface » continue le site.
Pour ceux qui ne sont pas en contrat indéterminé, certaines banques acceptent tout de même de prêter si les candidats montrent qu’ils ont exercé une activité sans discontinuer durant l’année et demie précédente.
Par ailleurs, les jeunes entrent de plus en plus tard dans le monde du travail avec des salaires souvent modestes en début de carrière. La question de l’apport se pose donc : « Car en plus de disposer de la capacité de remboursement adéquate, il est nécessaire d’apporter un capital de départ, couvrant au moins les frais d’achat. Ainsi un logement ancien d’une valeur de 200 000 € coûtera environ 216 000 € à l’achat, principalement à cause des droits de mutation. Pour un logement neuf il faudra tabler sur environ 208 000 €, mais pour une plus petite surface » continue le site.