Des difficultés d’approvisionnement oui, une pénurie non. « Alors que 11% des stations-service étaient en rupture d'au moins un carburant mercredi 29 mars, le président de la branche stations-service et énergies nouvelles du syndicat professionnel Mobilians, Francis Pousse, affirme que " petit à petit on arrive à réapprovisionner les stations-service". Si les chiffres tendent à s'améliorer "à coup de 1 ou 2%", la situation reste "très compliquée dans trois régions" : l'Île-de-France, PACA et les Pays de la Loire. Certains dépôts et raffineries sont occupés par des salariés opposés à la réforme des retraites », rapporte franceinfo.
Environ une station sur trois en région parisienne et une sur cinq en PACA ou Pays de la Loire seraient en rupture d’au moins un carburant. Une tension qui devrait se poursuivre au moins jusqu’au début de la semaine prochaine. « Le président de la branche stations-service et énergies nouvelles du syndicat professionnel Mobilians reconnaît que subsiste "un problème logistique plutôt qu'un problème de disponibilité de produits". Le président de la branche stations-service et énergies nouvelles de Mobilians assure qu'il "n'y a pas de problème de stocks de carburants". Il explique qu'outre "les stocks commerciaux, l'État dispose de trois mois de stocks stratégiques qui sont en partie utilisés". Les difficultés demeurent car le réapprovisionnement des stations doit se faire selon les raffineries et dépôts bloqués par des grévistes en pleine mobilisation contre la réforme des retraites. Pour les stations franciliennes, "il faut envoyer des camions chercher du carburant hors région" Île-de-France, indique Francis Pousse », explique la chaine d’infos.
Une tension générale qui a impacté l’organisation des automobilistes mais qui n’a jamais laissé planer de risque de pénurie générale. Une crainte qui continue pourtant de se répéter et avec elle des comportements de stockage qui empirent les tensions malgré les interdictions de remplir des bidons.
Environ une station sur trois en région parisienne et une sur cinq en PACA ou Pays de la Loire seraient en rupture d’au moins un carburant. Une tension qui devrait se poursuivre au moins jusqu’au début de la semaine prochaine. « Le président de la branche stations-service et énergies nouvelles du syndicat professionnel Mobilians reconnaît que subsiste "un problème logistique plutôt qu'un problème de disponibilité de produits". Le président de la branche stations-service et énergies nouvelles de Mobilians assure qu'il "n'y a pas de problème de stocks de carburants". Il explique qu'outre "les stocks commerciaux, l'État dispose de trois mois de stocks stratégiques qui sont en partie utilisés". Les difficultés demeurent car le réapprovisionnement des stations doit se faire selon les raffineries et dépôts bloqués par des grévistes en pleine mobilisation contre la réforme des retraites. Pour les stations franciliennes, "il faut envoyer des camions chercher du carburant hors région" Île-de-France, indique Francis Pousse », explique la chaine d’infos.
Une tension générale qui a impacté l’organisation des automobilistes mais qui n’a jamais laissé planer de risque de pénurie générale. Une crainte qui continue pourtant de se répéter et avec elle des comportements de stockage qui empirent les tensions malgré les interdictions de remplir des bidons.