300 kilomètres en moins 45 minutes. TransPod n’a pas donné les détails techniques et les modalités commerciales pour son premier tronçon mais annonce avoir trouvé de quoi financer un premier projet. « La start-up canadienne, fondée en 2015, annonce ce mardi 29 mars avoir trouvé un accord avec le fonds britannique Broughton Capital, associé à la société publique chinoise Cerieco. Ces derniers apportent un financement combiné de 550 millions de dollars afin de lancer la première phase de la construction d’une ligne de 300 km à ultra-grande vitesse, entre Edmonton et Calgary (Alberta) au Canada » explique Le Figaro qui a interviewé Sébastien Gendron, le fondateur et dirigeant de la société.
« TransPod espère que cet accord aura un effet d’entraînement auprès d’autres fonds privés pour financer les autres phases de la ligne, dont le budget total est estimé à près de 19 milliards d’euros. Les travaux doivent commencer en 2027, en vue d’une mise en service à partir de 2031. Ce train du futur, inspiré des plans de l’Hyperloop mis en ligne par Elon Musk, le patron de SpaceX, en 2012, se présente comme «plus propre que l’avion et plus rapide que le TGV». Sa promesse est de transporter marchandises et passagers dans des capsules, propulsées à 1000 km/h, par sustentation magnétique au sein d’un tube » poursuite le quotidien.
Le premier tronçon annoncé aura déjà des arguments pour les passagers puisque les 45 minutes annoncés sont pour l’heure parcourus en trois heures en voiture. Tandis que les arguments écologiques et sociaux devraient entrer en jeu pour convaincre d’autres investisseurs. « Le voyage entre Calgary et Edmonton prendra ainsi 45 minutes, contre plus de trois heures par la route. Cela, en réduisant les émissions de CO2 de 636.000 tonnes par an. La ligne aura une capacité de transport de 8 millions de passagers et 3 millions de tonnes de marchandises par an. L’Alberta parie sur le train TransPod et en attend des retombées locales importantes. Selon l’étude de faisabilité menée avec ses services, la construction de la ligne devrait entraîner la création de 140.000 emplois » lit-on plus loin.
Les opportunités pour les acteurs européens sont importantes puisque la société, dont le fondateur est un ancien de Airbus, est naturellement tournée vers le vieux continent. « À côté du Canada et des États-Unis (projet au Texas), TransPod parie sur la France pour y lancer les premières lignes européennes. La société construit à Droux (Haute-Vienne) un centre de R&D et une piste d’essais où les premiers tests doivent débuter fin 2022. La société cherche des capitaux privés après avoir identifié deux lignes à fort potentiel. La première, entre Paris et Le Havre ; la seconde, entre Paris et Toulouse » poursuite Le Figaro.
Lire en intégralité l’article du « Figaro »
« TransPod espère que cet accord aura un effet d’entraînement auprès d’autres fonds privés pour financer les autres phases de la ligne, dont le budget total est estimé à près de 19 milliards d’euros. Les travaux doivent commencer en 2027, en vue d’une mise en service à partir de 2031. Ce train du futur, inspiré des plans de l’Hyperloop mis en ligne par Elon Musk, le patron de SpaceX, en 2012, se présente comme «plus propre que l’avion et plus rapide que le TGV». Sa promesse est de transporter marchandises et passagers dans des capsules, propulsées à 1000 km/h, par sustentation magnétique au sein d’un tube » poursuite le quotidien.
Le premier tronçon annoncé aura déjà des arguments pour les passagers puisque les 45 minutes annoncés sont pour l’heure parcourus en trois heures en voiture. Tandis que les arguments écologiques et sociaux devraient entrer en jeu pour convaincre d’autres investisseurs. « Le voyage entre Calgary et Edmonton prendra ainsi 45 minutes, contre plus de trois heures par la route. Cela, en réduisant les émissions de CO2 de 636.000 tonnes par an. La ligne aura une capacité de transport de 8 millions de passagers et 3 millions de tonnes de marchandises par an. L’Alberta parie sur le train TransPod et en attend des retombées locales importantes. Selon l’étude de faisabilité menée avec ses services, la construction de la ligne devrait entraîner la création de 140.000 emplois » lit-on plus loin.
Les opportunités pour les acteurs européens sont importantes puisque la société, dont le fondateur est un ancien de Airbus, est naturellement tournée vers le vieux continent. « À côté du Canada et des États-Unis (projet au Texas), TransPod parie sur la France pour y lancer les premières lignes européennes. La société construit à Droux (Haute-Vienne) un centre de R&D et une piste d’essais où les premiers tests doivent débuter fin 2022. La société cherche des capitaux privés après avoir identifié deux lignes à fort potentiel. La première, entre Paris et Le Havre ; la seconde, entre Paris et Toulouse » poursuite Le Figaro.
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