Éditorialistes & Contributeurs
Corporate management
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Pour trouver un travail, il faut se tourner vers le numérique. Les recruteurs sont unanimes, c’est le secteur solide et dynamique du moment. Et ce de façon stable et continu depuis des années. Un article du « Monde » montre comment dans le domaine les chasseurs de tête et tentatives de recrutements sont dynamiques. « Pour la majorité des profils du numérique, le plein-emploi est la règle. « Tout le monde est chassé, remarque Simon Loubris. Dans mes équipes, on est quarante, et il y en a une dizaine qui ont claqué la porte depuis le début d’année. » Sur 530 000 emplois recensés par la fédération Numeum, première organisation professionnelle du secteur, 80 % sont des postes de cadre et 93 % sont en CDI. Si l’activité a fortement reculé au printemps 2020, elle s’est rapidement redressée au second semestre (4 600 emplois salariés créés), et les métiers du développement informatique sont restés très demandés » avance le quotidien.
La numérisation des activités et les besoins croissants dans tous les domaines ont logiquement fait exploser la demande. Une situation accentuée par la crise Covid et le recours massif au télétravail. « Au manque de candidats s’ajoute l’exigence des employeurs, à la recherche de compétences élevées. « La vraie tension est sur les gens qui ont cinq ans d’expérience et plus », explique Simon Loubris, qui participe aux processus de recrutement. Lorsqu’elles trouvent le bon profil, les entreprises font tout pour l’attirer, et la surenchère salariale ne suffit pas toujours. La flexibilité des conditions de travail, notamment la possibilité de travailler à distance, est souvent attendue par les travailleurs » lit-on plus loin.
Le résultat est clair. Les diplômés et encore plus les personnes avec une solide expérience dans le domaine peuvent de plus en plus s’approcher des conditions de travail idéales selon leurs priorités. Télétravail total, recours à des sociétés étrangères commencent à se généraliser tandis que le pic n’est pas encore atteint. D’après Le Monde, d’ici 2025 230 000 postes seront à pourvoir. Un chiffre qui, on l’espère, sera largement diffusé dans les lycées et établissements supérieurs.
La numérisation des activités et les besoins croissants dans tous les domaines ont logiquement fait exploser la demande. Une situation accentuée par la crise Covid et le recours massif au télétravail. « Au manque de candidats s’ajoute l’exigence des employeurs, à la recherche de compétences élevées. « La vraie tension est sur les gens qui ont cinq ans d’expérience et plus », explique Simon Loubris, qui participe aux processus de recrutement. Lorsqu’elles trouvent le bon profil, les entreprises font tout pour l’attirer, et la surenchère salariale ne suffit pas toujours. La flexibilité des conditions de travail, notamment la possibilité de travailler à distance, est souvent attendue par les travailleurs » lit-on plus loin.
Le résultat est clair. Les diplômés et encore plus les personnes avec une solide expérience dans le domaine peuvent de plus en plus s’approcher des conditions de travail idéales selon leurs priorités. Télétravail total, recours à des sociétés étrangères commencent à se généraliser tandis que le pic n’est pas encore atteint. D’après Le Monde, d’ici 2025 230 000 postes seront à pourvoir. Un chiffre qui, on l’espère, sera largement diffusé dans les lycées et établissements supérieurs.
