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La Sécurité sociale envisage d’harmoniser et de revaloriser toutes les prestations sociales au 1er avril et l'indexation sur l'inflation des douze derniers mois sont envisagées.
Un article du journal en ligne Le Point, d'après une dépêche AFP, explique les enjeux d’une telle revalorisation de la part de la Sécurité sociale. L’article souligne comment le gouvernement envisage d'indexer l'augmentation des prestations sur l'inflation constatée les douze derniers mois, et non plus sur l'inflation prévisionnelle couplée à d'éventuelles corrections.
Un article du journal en ligne Le Point, d'après une dépêche AFP, explique les enjeux d’une telle revalorisation de la part de la Sécurité sociale. L’article souligne comment le gouvernement envisage d'indexer l'augmentation des prestations sur l'inflation constatée les douze derniers mois, et non plus sur l'inflation prévisionnelle couplée à d'éventuelles corrections.
« Stabiliser les prestations pour préserver le pouvoir d'achat des ménages »
L’article du Point souligne que « l'une des pistes d'économies envisagées par le gouvernement pour le budget de la Sécurité sociale » serait d’« harmoniser la revalorisation de toutes les prestations sociales (hors retraites) au 1er avril et l'indexer sur l'inflation des douze derniers mois. » Il ajoute que la mesure, dévoilée par le journal Les Echos, « pourrait rapporter près de 500 millions d'euros à court terme. »
L’article explique également que « prestations familiales, pensions d'invalidité, ou encore allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa, ex-minimum vieillesse) sont actuellement revalorisées au 1er avril. En reculant du 1er janvier à cette date la revalorisation du RSA et des aides au logement, le gouvernement économiserait ainsi trois mois d'augmentation potentielle, mais il avancerait également de septembre à avril la revalorisation de l'allocation adulte handicapée. »
La revalorisation de l‘allocation des retraites « resterait quant à elle cantonnée au 1er octobre », selon l’article du Point. Le journal souligne que « le gouvernement envisage d'indexer l'augmentation des prestations sur l'inflation constatée les douze derniers mois, et non plus sur l'inflation prévisionnelle couplée à d'éventuelles corrections, qui servent à récupérer le trop-perçu, mais sont mal comprises par les bénéficiaires. Actuellement, si la hausse des prix a été moins forte que prévu, la revalorisation suivante des allocations familiales, par exemple, ne correspondra pas à la nouvelle prévision d'inflation. Cela permet au gouvernement de récupérer le ‘trop-perçu’. »
L’article précise, dans le cas du RSA et des aides au logement : « aucune correction n'est appliquée, ce qui peut constituer un manque à gagner pour le gouvernement. La réforme permettrait donc d'engranger de substantielles économies pour sa première année de mise en oeuvre, 2016 s'annonçant comme une nouvelle ‘année blanche’. »
L’article explique également que « prestations familiales, pensions d'invalidité, ou encore allocation de solidarité aux personnes âgées (Aspa, ex-minimum vieillesse) sont actuellement revalorisées au 1er avril. En reculant du 1er janvier à cette date la revalorisation du RSA et des aides au logement, le gouvernement économiserait ainsi trois mois d'augmentation potentielle, mais il avancerait également de septembre à avril la revalorisation de l'allocation adulte handicapée. »
La revalorisation de l‘allocation des retraites « resterait quant à elle cantonnée au 1er octobre », selon l’article du Point. Le journal souligne que « le gouvernement envisage d'indexer l'augmentation des prestations sur l'inflation constatée les douze derniers mois, et non plus sur l'inflation prévisionnelle couplée à d'éventuelles corrections, qui servent à récupérer le trop-perçu, mais sont mal comprises par les bénéficiaires. Actuellement, si la hausse des prix a été moins forte que prévu, la revalorisation suivante des allocations familiales, par exemple, ne correspondra pas à la nouvelle prévision d'inflation. Cela permet au gouvernement de récupérer le ‘trop-perçu’. »
L’article précise, dans le cas du RSA et des aides au logement : « aucune correction n'est appliquée, ce qui peut constituer un manque à gagner pour le gouvernement. La réforme permettrait donc d'engranger de substantielles économies pour sa première année de mise en oeuvre, 2016 s'annonçant comme une nouvelle ‘année blanche’. »