En effet, un article en ligne du journal Les Echos explique que « le programme économique sera déterminant dans les motivations du vote l’an prochain. »
Ainsi, ce sont neuf Français sur dix qui « accorderont une place importante », à ce domaine, selon un sondage Odoxa pour FTI Consulting, Les Echos et Radio Classique.
Par conséquent, comme l’explique l’article des Echos, « le poids de l’économie sera ‘prioritaire’ pour 40 % des sondés et ‘important’ pour 49 %. »
Gaël Sliman, le président d’Odoxa, constate dans les colonnes du journal : « On pourra bien parler aux Français de terrorisme et de sécurité, d’affaires internationales, de thèmes sociétaux… rien n’y fera : au moment de choisir leur candidat en 2017, un seul sujet aura réellement de l’importance : le programme économique que portera le candidat. »
Ainsi, ce sont neuf Français sur dix qui « accorderont une place importante », à ce domaine, selon un sondage Odoxa pour FTI Consulting, Les Echos et Radio Classique.
Par conséquent, comme l’explique l’article des Echos, « le poids de l’économie sera ‘prioritaire’ pour 40 % des sondés et ‘important’ pour 49 %. »
Gaël Sliman, le président d’Odoxa, constate dans les colonnes du journal : « On pourra bien parler aux Français de terrorisme et de sécurité, d’affaires internationales, de thèmes sociétaux… rien n’y fera : au moment de choisir leur candidat en 2017, un seul sujet aura réellement de l’importance : le programme économique que portera le candidat. »
Une « importance croissante du programme économique »
Selon l’article, « la priorité accordée aux programmes économiques est une constante depuis les années 1990 », renvoyant ainsi « aux préoccupations des Français en matière d’emploi et de pouvoir d’achat. »
Gaël Sliman ajoute : « Mais l’ampleur du score est spectaculaire et témoigne de l’importance croissante du programme économique au fil des crises successives et particulièrement depuis 2008. »
L’opinion des Français « transcende les partis politiques : 95 % des sympathisants de gauche, 96 % de ceux de droite et 84 % de ceux du FN accorderont une place très importante à l’économie lors de la prochaine présidentielle de 2017. »
Enfin, l’article des Echos précise que « la persistance de la crise ne fait pas les affaires de François Hollande ni de Nicolas Sarkozy, dont les Français jugent sévèrement le bilan économique », et ajoute : « mais gare aussi aux autres candidats qui apparaîtraient trop fragiles ou mal préparés sur le terrain économique. Les Français les attendent visiblement au tournant. »
Lire l’intégralité de l’article des Echos ici.
Gaël Sliman ajoute : « Mais l’ampleur du score est spectaculaire et témoigne de l’importance croissante du programme économique au fil des crises successives et particulièrement depuis 2008. »
L’opinion des Français « transcende les partis politiques : 95 % des sympathisants de gauche, 96 % de ceux de droite et 84 % de ceux du FN accorderont une place très importante à l’économie lors de la prochaine présidentielle de 2017. »
Enfin, l’article des Echos précise que « la persistance de la crise ne fait pas les affaires de François Hollande ni de Nicolas Sarkozy, dont les Français jugent sévèrement le bilan économique », et ajoute : « mais gare aussi aux autres candidats qui apparaîtraient trop fragiles ou mal préparés sur le terrain économique. Les Français les attendent visiblement au tournant. »
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