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Il va augmenter mais pas de coup de pouce. C’est Élisabeth Borne, ministre du Travail, qui l’a confirmé lors d’une interview donnée à CNews. « « On ne va pas faire de coup de pouce, je vous le confirme », a déclaré Elisabeth Borne, soulignant qu’en un an, le Smic « aura augmenté de 3,1 % pour s’établir à 1 603 euros brut mensuels, soit « 48 euros de plus par mois ». « On a un système unique au monde, qui est très protecteur pour les salariés au niveau du Smic puisqu’il prévoit une revalorisation automatique en tenant compte de l’inflation », a-t-elle souligné. La ministre a défendu « le choix, depuis le début du quinquennat, d’augmenter le pouvoir d’achat en augmentant la prime d’activité (et) en supprimant certaines cotisations, pour augmenter le revenu sans peser sur le coût du travail, ce qui peut détruire des emplois » » compile un article publié sur le site du quotidien Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Pour défendre cette position, la ministre a plaidé la tranquillité et le réalisme. « « C’est ce qui nous amène à suivre (les) économistes spécialistes du Smic, qui ne recommandent pas un coup de pouce », a-t-elle ajouté. Mme Borne a cependant promis de « continuer à mettre la pression sur les secteurs professionnels qui ont un certain nombre de niveaux dans leurs grilles salariales qui sont en dessous du Smic », citant en exemple les hôtels, cafés et restaurants qui emploient « plus de 800 000 salariés ». Une « réunion de négociation » dans ce secteur est prévue jeudi après-midi et la ministre « compte sur les organisations patronales pour trouver un accord avec les organisations syndicales » » continue le quotidien. Une décision qui se heurte déjà aux programmes présidentiels de plusieurs candidats de gauche qui ont promis des fortes revalorisations du salaire minimum.
Pour défendre cette position, la ministre a plaidé la tranquillité et le réalisme. « « C’est ce qui nous amène à suivre (les) économistes spécialistes du Smic, qui ne recommandent pas un coup de pouce », a-t-elle ajouté. Mme Borne a cependant promis de « continuer à mettre la pression sur les secteurs professionnels qui ont un certain nombre de niveaux dans leurs grilles salariales qui sont en dessous du Smic », citant en exemple les hôtels, cafés et restaurants qui emploient « plus de 800 000 salariés ». Une « réunion de négociation » dans ce secteur est prévue jeudi après-midi et la ministre « compte sur les organisations patronales pour trouver un accord avec les organisations syndicales » » continue le quotidien. Une décision qui se heurte déjà aux programmes présidentiels de plusieurs candidats de gauche qui ont promis des fortes revalorisations du salaire minimum.