Le sport est un excellent laboratoire de management. Avec beaucoup de particularités et un rapport à la concurrence et à la performance beaucoup plus transparent, il y a toujours des choses à retenir pour ceux qui gèrent une équipe. C’est ce que BFMTV a considéré en retenant cinq leçons pour les manageurs dans la méthode de Didier Deschamps. En permettant que les joueurs soient soudés ou que des jeunes soient considérés comme essentiels, l’entraineur a réussi ce que beaucoup aimeraient accomplir en entreprise.
La première remarque est encourageante pour ceux qui traversent des mauvaises passes. « Lors de sa première année d'entraîneur, son club Monaco termine quatorzième à trois points de la relégation. Il se brouille avec son attaquant vedette et son président l'annonce même partant, c'est-à-dire qu'il le menace de le virer. Mais Deschamps serre les dents, se remet au travail, écarte les joueurs réfractaires et compose avec les deux adjoints qu'on lui a forcé à prendre » explique l’article de la chaine d’info. Une observation qui donne du courage et permet de sortir du mythe du charisme de leader, avec lequel on serait né ou non. Autre idée qui peut aussi aider les manageurs en difficulté : « L'entraîneur et le sélectionneur a connu des échecs en tant que sélectionneur avant le grand succès de ce dimanche. En 2014 avec une élimination frustrante en Coupe du monde contre l'Allemagne et surtout en 2016 en finale de son Euro en finale contre le Portugal. Mais à chaque fois, le sélectionneur n'a pas tout remis en question et s'est appuyé sur ce qui a fonctionné (en l'occurrence l'épine dorsale de son équipe, ses joueurs de l'axe) et, petit-à-petit, il reconstruit son équipe en y adjoignant de nouveaux talents. »
Dans la forme aussi il y a quelques petites choses à retenir comme la franchise dans les reproches mais toujours avec un mot d’encouragement. Un joueur est réprimandé parce qu’il peut mieux faire non pour le corriger. Enfin, et non des moindre, remarque BFMTV, il ne se sent pas concurrencé par les personnalités les plus fortes : « Evidemment c'est le coach qui a la primauté de la prise de parole mais il laisse une grande autonomie à son vestiaire en s'absentant et en laissant s'exprimer les fortes personnalités qui jouent sur le terrain. Il n'a pas peur de la concurrence ou de l'ombre que pourrait lui faire son joueur. Au contraire, sûr de son autorité, il s'efface pour laisser les autres s'exprimer. Mais à la fin, c'est lui qui tranche et décide. » Une confiance en son rôle qui ferait du bien à beaucoup de manageurs.
Lire ici en intégralité les cinq leçons pour les manageurs retenues par BFMTV
La première remarque est encourageante pour ceux qui traversent des mauvaises passes. « Lors de sa première année d'entraîneur, son club Monaco termine quatorzième à trois points de la relégation. Il se brouille avec son attaquant vedette et son président l'annonce même partant, c'est-à-dire qu'il le menace de le virer. Mais Deschamps serre les dents, se remet au travail, écarte les joueurs réfractaires et compose avec les deux adjoints qu'on lui a forcé à prendre » explique l’article de la chaine d’info. Une observation qui donne du courage et permet de sortir du mythe du charisme de leader, avec lequel on serait né ou non. Autre idée qui peut aussi aider les manageurs en difficulté : « L'entraîneur et le sélectionneur a connu des échecs en tant que sélectionneur avant le grand succès de ce dimanche. En 2014 avec une élimination frustrante en Coupe du monde contre l'Allemagne et surtout en 2016 en finale de son Euro en finale contre le Portugal. Mais à chaque fois, le sélectionneur n'a pas tout remis en question et s'est appuyé sur ce qui a fonctionné (en l'occurrence l'épine dorsale de son équipe, ses joueurs de l'axe) et, petit-à-petit, il reconstruit son équipe en y adjoignant de nouveaux talents. »
Dans la forme aussi il y a quelques petites choses à retenir comme la franchise dans les reproches mais toujours avec un mot d’encouragement. Un joueur est réprimandé parce qu’il peut mieux faire non pour le corriger. Enfin, et non des moindre, remarque BFMTV, il ne se sent pas concurrencé par les personnalités les plus fortes : « Evidemment c'est le coach qui a la primauté de la prise de parole mais il laisse une grande autonomie à son vestiaire en s'absentant et en laissant s'exprimer les fortes personnalités qui jouent sur le terrain. Il n'a pas peur de la concurrence ou de l'ombre que pourrait lui faire son joueur. Au contraire, sûr de son autorité, il s'efface pour laisser les autres s'exprimer. Mais à la fin, c'est lui qui tranche et décide. » Une confiance en son rôle qui ferait du bien à beaucoup de manageurs.
Lire ici en intégralité les cinq leçons pour les manageurs retenues par BFMTV