« Ces professionnels de santé fraudaient la Sécurité sociale depuis plusieurs années. Mais, l'arnaque a pris fin », explique un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP.
C'est un couple d'infirmiers libéraux qui a mise au point une fraude a un degré quasi industriel puisque le montant estimé du préjudice s'élève à la bagatelle de 2,730 millions d'euros. De quoi intéresser la justice qui les a mis en examen.
C'est un couple d'infirmiers libéraux qui a mise au point une fraude a un degré quasi industriel puisque le montant estimé du préjudice s'élève à la bagatelle de 2,730 millions d'euros. De quoi intéresser la justice qui les a mis en examen.
Remboursés pour des actes fictifs
Le fait divers pourrait être anecdotique s'il ne laissait pas apparaître la facilité déconcertante avec laquelle le couple a perçu illégallement près de trois millions d'euros en seulement cinq ans.
Plus surprenant encore, la raison pour laquelle ils se sont faits coincer démontre qu'avec un peu moins d'appétit ils auraient pu détourner d'importantes sommes sans jamais avoir de soucis. En effet, l'alerte a été donné à la Sécurité sociale par des proches de patients qui ne comprenaient pourquoi ils recevaient des relevés qui ne correspondaient à aucun soin... Des pratiques que la Sécurité sociale n'avait pas remarquées alors que les sommes sont pour le moins surprenantes.
Tous deux « mis en examen pour ‘escroquerie aggravée, faux et usage de faux et recel d'escroquerie aggravée’ vendredi par un juge d'instruction bisontin, a indiqué la procureur de Besançon Edwige Roux-Morizot. Ils ont été laissés libres sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Plus surprenant encore, la raison pour laquelle ils se sont faits coincer démontre qu'avec un peu moins d'appétit ils auraient pu détourner d'importantes sommes sans jamais avoir de soucis. En effet, l'alerte a été donné à la Sécurité sociale par des proches de patients qui ne comprenaient pourquoi ils recevaient des relevés qui ne correspondaient à aucun soin... Des pratiques que la Sécurité sociale n'avait pas remarquées alors que les sommes sont pour le moins surprenantes.
Tous deux « mis en examen pour ‘escroquerie aggravée, faux et usage de faux et recel d'escroquerie aggravée’ vendredi par un juge d'instruction bisontin, a indiqué la procureur de Besançon Edwige Roux-Morizot. Ils ont été laissés libres sous contrôle judiciaire avec interdiction d'exercer leur profession. »
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