Les prix augmentent, les ventes aussi. L’anomalie du secteur immobilier français et particulièrement parisien se poursuit. Dopés par des taux d’emprunts faibles, les deux courbes ont continué à croitre si l’on en croit le bilan des notaires avec les chiffres de l’Insee. Pour ce qui est de la France, « entre janvier et mars, les prix de l’immobilier ancien ont gagné 3,0% par rapport à la même époque de l’an dernier et, sur les douze mois écoulés, le nombre de transactions a atteint 985.000, un niveau jamais vu. La hausse des prix est dans la lignée de celle observée en 2018 (+3,2%), alors que le marché est depuis plusieurs années en plein essor dans un contexte, notamment, d’argent facile à la suite des politiques très accommodantes de la Banque centrale européenne (BCE) » rapporte la rubrique immobilier du Figaro.
A Paris la tendance est la même mais à une échelle supérieure. « Dans la capitale, la tendance est encore bien plus forte, frôlant la surchauffe puisque les prix progressent de 6,4% après une hausse annuelle de 5,7% au trimestre précédent. Paris ne compte désormais plus d’arrondissement où les prix moyens sont inférieurs à 8000 €/m². Le 20e arrondissement, le moins cher, se négocie actuellement à 8220 €/m² quand le plus cher, le 6e, culmine à 13880 €/m². En Île-de-France, la tendance est également dynamique avec une hausse annuelle de 3,9% très proche des 4,2% du trimestre précédent » lit-on plus loin. En contradiction de ce qu’en pensaient les observateurs, le contexte politique et social n’a eu aucune influence sur une tendance qui se confirme. Dans une situation de taux d’intérêt qui restent bas, on s’interroge légitimement sur ce qui pourrait freiner la machine. Mais avec des prix à ce niveau et des transactions en hausse, la machine semble bien s’être emballée.
A Paris la tendance est la même mais à une échelle supérieure. « Dans la capitale, la tendance est encore bien plus forte, frôlant la surchauffe puisque les prix progressent de 6,4% après une hausse annuelle de 5,7% au trimestre précédent. Paris ne compte désormais plus d’arrondissement où les prix moyens sont inférieurs à 8000 €/m². Le 20e arrondissement, le moins cher, se négocie actuellement à 8220 €/m² quand le plus cher, le 6e, culmine à 13880 €/m². En Île-de-France, la tendance est également dynamique avec une hausse annuelle de 3,9% très proche des 4,2% du trimestre précédent » lit-on plus loin. En contradiction de ce qu’en pensaient les observateurs, le contexte politique et social n’a eu aucune influence sur une tendance qui se confirme. Dans une situation de taux d’intérêt qui restent bas, on s’interroge légitimement sur ce qui pourrait freiner la machine. Mais avec des prix à ce niveau et des transactions en hausse, la machine semble bien s’être emballée.