Le roi de Thaïlande Bhumibol Adulyadej est décédé jeudi 13 octobre à l'âge de 88 ans, « laissant derrière lui un pays divisé entre une élite ultra-royaliste et une classe rurale partisane de l'ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra », explique un article en ligne du journal Le Figaro, qui ajoute qu’il était un « véritable petit père de la nation thaïlandaise. »
L’article souligne que « Bhumibol Adulyadej était considéré comme une figure unificatrice du pays », décédé après 70 ans de règne, durant lesquels la Thaïlande est passée de l'état de pays agraire à celui de moteur économique pour la région.
L’article souligne que « Bhumibol Adulyadej était considéré comme une figure unificatrice du pays », décédé après 70 ans de règne, durant lesquels la Thaïlande est passée de l'état de pays agraire à celui de moteur économique pour la région.
« Un délai avant de succéder à son père »
L’article du Figaro explique que « le prince Maha Vajiralongkorn, son fils héritier, a demandé à bénéficier d'un délai avant de succéder à son père, plongeant le pays dans une grande confusion qui pourrait avoir de lourdes conséquences politiques, mais aussi économiques. »
En effet, la Thaïlande traverserait une période économique entre deux eaux : « Les ménages thaïlandais sont fortement endettés, et les investissements ont chuté de 90% en 2015. La Banque mondiale prévoit une croissance de 2% pour 2016, ce qui sera de loin le taux de croissance le plus faible de la région. »
L’article du Figaro ajoute que « le chef de la junte militaire au pouvoir a annoncé une période de deuil national d'un an, ce qui inquiète grandement les analystes de The Economist Intelligence Unit, qui ont confié à l'AFP qu'ils redoutaient ‘la fermeture d'entreprises nationales pour plusieurs jours, y compris les sociétés liées au tourisme’. Le cabinet prévoit un ralentissement économique en Thaïlande pour les 12 prochains mois. »
En outre, le Japon se dit prêt à aider ses entreprises implantées en Thaïlande « en cas de ralentissement de l'économie après le décès du roi », poursuit l’article du Figaro.
Yoshihide Suga, le porte-parole du gouvernement japonais, explique : « Le gouvernement va offrir un soutien approprié aux compagnies japonaises afin de minimiser l'impact. »
Lire l’intégralité de l’article du Figaro ici.
En effet, la Thaïlande traverserait une période économique entre deux eaux : « Les ménages thaïlandais sont fortement endettés, et les investissements ont chuté de 90% en 2015. La Banque mondiale prévoit une croissance de 2% pour 2016, ce qui sera de loin le taux de croissance le plus faible de la région. »
L’article du Figaro ajoute que « le chef de la junte militaire au pouvoir a annoncé une période de deuil national d'un an, ce qui inquiète grandement les analystes de The Economist Intelligence Unit, qui ont confié à l'AFP qu'ils redoutaient ‘la fermeture d'entreprises nationales pour plusieurs jours, y compris les sociétés liées au tourisme’. Le cabinet prévoit un ralentissement économique en Thaïlande pour les 12 prochains mois. »
En outre, le Japon se dit prêt à aider ses entreprises implantées en Thaïlande « en cas de ralentissement de l'économie après le décès du roi », poursuit l’article du Figaro.
Yoshihide Suga, le porte-parole du gouvernement japonais, explique : « Le gouvernement va offrir un soutien approprié aux compagnies japonaises afin de minimiser l'impact. »
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