Les poids lourds de l’internet investissent massivement depuis des années dans des innovations. Bien au-delà de leurs activités principales, la stratégie consiste à racheter des startups innovantes ou développer des équipes de chercheurs pour être le berceau des futures ruptures technologiques. A ce titre, il est toujours intéressant de se pencher sur les projets qui sont développés et considérés comme dignes de recevoir d’importants subsides. « Dans un rare exercice de communication, le Facebook Reality Labs (FRL) -son labo de R&D en AR/VR - a détaillé l’état de ses recherches en la matière à la presse en début de semaine. Un moyen pour la firme, souvent décriée pour son opacité, de montrer qu’elle veut développer ces nouvelles technologies en toute transparence. C’est une bonne chose, car la proposition de Facebook pour les interfaces homme-machine de demain est aussi ambitieuse que radicale. Et elle ne manquera pas de faire débat » raconte 01 Net .
Il s’agit ici d’un bracelet connecté qui doit permettre de contrôler à distances des interfaces virtuelles. « Car il sert en réalité à intercepter les signaux électriques envoyés par votre cerveau aux muscles de vos mains par le système nerveux lorsque vous pensez à un mouvement. C'est une application de la technique médicale de l’électromyogramme. Il peut ainsi les interpréter avec précision et les transformer immédiatement en commandes numériques, compréhensibles par un ordinateur. Associée à des lunettes de réalité augmentée, cette interface au poignet vous permettrait de contrôler des éléments virtuels intuitivement, par de simples mouvements de doigts ou de main » explique le site spécialisé.
Pour les personnes amputées ou pour tout le monde, l’idée est ensuite de taper sur un clavier imaginaire, contrôler à distance une machine. « Cette technologie bluffante n’est pas tout à fait nouvelle. Elle est avant tout l’œuvre de CTRL-Labs, une start-up justement fondée par (Thomas ndlr) Reardon, qui en avait fait la démonstration avant d’être rachetée par Facebook en 2019. Le prototype a depuis évolué, mais le travail nécessaire pour obtenir un produit commercialisable est encore très long, et Facebook se garde bien de fournir une éventuelle date de commercialisation de cette technologie. D’autant que le chantier ne se résume pas, loin de là, à la seule captation des impulsions nerveuses » ajoute 01 Net qui détaille plus dans son article sur le retour tactile et les objets du travail sur cette technologie.
Lire ici en intégralité l’article cité de 01 Net
Il s’agit ici d’un bracelet connecté qui doit permettre de contrôler à distances des interfaces virtuelles. « Car il sert en réalité à intercepter les signaux électriques envoyés par votre cerveau aux muscles de vos mains par le système nerveux lorsque vous pensez à un mouvement. C'est une application de la technique médicale de l’électromyogramme. Il peut ainsi les interpréter avec précision et les transformer immédiatement en commandes numériques, compréhensibles par un ordinateur. Associée à des lunettes de réalité augmentée, cette interface au poignet vous permettrait de contrôler des éléments virtuels intuitivement, par de simples mouvements de doigts ou de main » explique le site spécialisé.
Pour les personnes amputées ou pour tout le monde, l’idée est ensuite de taper sur un clavier imaginaire, contrôler à distance une machine. « Cette technologie bluffante n’est pas tout à fait nouvelle. Elle est avant tout l’œuvre de CTRL-Labs, une start-up justement fondée par (Thomas ndlr) Reardon, qui en avait fait la démonstration avant d’être rachetée par Facebook en 2019. Le prototype a depuis évolué, mais le travail nécessaire pour obtenir un produit commercialisable est encore très long, et Facebook se garde bien de fournir une éventuelle date de commercialisation de cette technologie. D’autant que le chantier ne se résume pas, loin de là, à la seule captation des impulsions nerveuses » ajoute 01 Net qui détaille plus dans son article sur le retour tactile et les objets du travail sur cette technologie.
Lire ici en intégralité l’article cité de 01 Net