« La perspective de voir Donald Trump entrer à la Maison-Blanche a d'abord eu l'effet d'un coup de tonnerre sur les marchés financiers », explique un article en ligne du journal Le Point, qui ajoute que « dans la nuit du 8 au 9 novembre, on a assisté à un mouvement très classique lorsque l'incertitude saisit le troupeau de la planète finance : les investisseurs ont vendu leurs actifs les plus risqués (les actions) pour se ruer sur ceux jugés plus sûrs (les obligations d'État, l'or) considérés comme des valeurs-refuge. »
Jean-Louis Mourier, un courtier français économiste chez Aurel BGC, se souvient : « Tout le monde se disait, s'il est élu, ça va être très négatif. »
Jean-Louis Mourier, un courtier français économiste chez Aurel BGC, se souvient : « Tout le monde se disait, s'il est élu, ça va être très négatif. »
Un mouvement qui se renverse
L’article du Point souligne que « passé la surprise initiale, le mouvement s'est renversé », puisque « les investisseurs se sont mis à acheter des actions, notamment de sociétés énergétiques et pharmaceutiques, deux secteurs dans le viseur d'Hillary Clinton. Effet collatéral, ils ont vendu les dettes d'État, ce qui a fait baisser leur prix. »
Jean-Louis Mourier ajoute : « Les investisseurs se sont rendu compte qu'à court terme sa politique serait favorable à la croissance avec ses baisses d'impôts et son programme d'investissement dans les infrastructures. Et qu'il allait assouplir la réglementation des banques. »
L’article ajoute que « La confirmation que les deux chambres du Congrès auraient une majorité républicaine a contribué à ce retournement. Le milliardaire devrait avoir les mains plus libres pour appliquer son programme, au moins sur la dérégulation financière et les baisses de prélèvements. « Le marché met pour l'instant les parties inquiétantes de son programme de côté, car elles ne devraient pas avoir d'impact à court terme. »
D'autant que Donald Trump « a vite modéré son discours en endossant les habits de président, notamment sur le protectionnisme. Pour l'instant, il ne parle plus de sortir de l'accord de libre-échange nord-américain avec le Mexique et le Canada, mais seulement de le renégocier. »
Lire l’intégralité de l’article du Point ici.
Jean-Louis Mourier ajoute : « Les investisseurs se sont rendu compte qu'à court terme sa politique serait favorable à la croissance avec ses baisses d'impôts et son programme d'investissement dans les infrastructures. Et qu'il allait assouplir la réglementation des banques. »
L’article ajoute que « La confirmation que les deux chambres du Congrès auraient une majorité républicaine a contribué à ce retournement. Le milliardaire devrait avoir les mains plus libres pour appliquer son programme, au moins sur la dérégulation financière et les baisses de prélèvements. « Le marché met pour l'instant les parties inquiétantes de son programme de côté, car elles ne devraient pas avoir d'impact à court terme. »
D'autant que Donald Trump « a vite modéré son discours en endossant les habits de président, notamment sur le protectionnisme. Pour l'instant, il ne parle plus de sortir de l'accord de libre-échange nord-américain avec le Mexique et le Canada, mais seulement de le renégocier. »
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