Un accord non renouvelé ou l’envie de réduire la quantité de produits mauvais pour la santé ? Les raisons réelles du conflit entre Intermarché et Coca-Cola sont difficiles à distinguer puisque les deux acteurs ont campé sur leurs positions, avec des versions discordantes. Une tension qui a duré plus d’un an et qui a enfin débouché sur un nouvel accord. « Après un désaccord commercial qui aura duré plus d’un an, les deux groupes sont parvenus à signer un accord dans le cadre des négociations commerciales 2021. Dans une interview accordée à nos confrères de Rayon Boissons, Marc Vidal, directeur commercial GMS France de Coca-Cola European Partners (CCEP), assure qu’il n’y a "pas" de "conflit avec Intermarché" eu égard au terrain d'entente trouvé par les deux parties pour cette année. Pour autant, Intermarché n’a conservé que "22 références à son cadencier, avec une sélection portée sur nos principales marques : Coca-Cola, Coca-Cola sans sucres, Coca-Cola light, Fanta, Fuze Tea, Monster, Capri-Sun", explique-t-il. Or, c’est bien moins que les 50 références retenues en 2020 ou des 100 de 2019 » nous apprend BFMTV .
Depuis début 2020, quand s’installait le désaccord, Intermarché expliquait vouloir diminuer la quantié proposée de produits mauvais pour la santé « A l'époque, ce choix avait suscité la colère de CCEP qui avait décidé "d'arrêter de livrer Intermarché et Netto sur l’ensemble de ses gammes", selon un note interne rédigée par Thierry Cotillard, alors président d’ITM Alimentaire. De son côté, l'embouteilleur avait jugé les déclarations du distributeur "inexactes", indiquant qu’il avait cessé ses livraisons en raison de la fin de son contrat avec Intermarché le 31 décembre 2019 et de l’absence d’un nouvel accord commercial pour l’année 2020. La justice avait fini par intervenir, exigeant de CCEP la reprise immédiate des livraisons » ajoute la chaine d’infos.
Depuis début 2020, quand s’installait le désaccord, Intermarché expliquait vouloir diminuer la quantié proposée de produits mauvais pour la santé « A l'époque, ce choix avait suscité la colère de CCEP qui avait décidé "d'arrêter de livrer Intermarché et Netto sur l’ensemble de ses gammes", selon un note interne rédigée par Thierry Cotillard, alors président d’ITM Alimentaire. De son côté, l'embouteilleur avait jugé les déclarations du distributeur "inexactes", indiquant qu’il avait cessé ses livraisons en raison de la fin de son contrat avec Intermarché le 31 décembre 2019 et de l’absence d’un nouvel accord commercial pour l’année 2020. La justice avait fini par intervenir, exigeant de CCEP la reprise immédiate des livraisons » ajoute la chaine d’infos.