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Zidane est un manageur né. Alors que l’on sait que les sports collectifs sont une mine de leçons et d’enseignements pour le management, le footballeur devenu entraineur est un exemple à suivre pour ceux qui ont des responsabilités au sein d’une entreprise. « Un vrai coup de génie. En quittant son poste d'entraîneur du Real Madrid juste après la victoire du club en Ligue européenne des champions, Zinédine Zidane donne une formidable leçon de management . La leçon ne s'arrête d'ailleurs pas à cette décision surprise. Le parcours du footballeur ces dernières années constitue une mine d'exemples, dont les managers français gagneraient à s'inspirer » lit-on dans un édito publié par le quotidien économique Les Echos.
Quatre éléments sont mis en avant comme des enseignements dans la décision de Zizou : timing, motivation, humilité et vision. Quatre qualités que l’ex entraineur du Real Madrid aurait mis en pratique en décidant de quitter le club après un nouveau succès en Ligue de Champions, compétition la plus prestigieuse du football. Critiqué pour d’autres choix pendant l’année, il ne profite pas d’un succès pour essayer de faire oublier les difficultés. Il choisit de se retirer en estimant qu’il n’a plus d’idées pour renouveler la stratégie.
« Raison première invoquée par l'entraîneur pour partir : pour progresser, l'équipe du Real a besoin d'« un discours différent, de techniques différentes ». C'est donc au nom de la motivation des joueurs que Zidane a décidé de ne pas continuer. Dans un club de foot, l'envie de réussir est un moteur essentiel. C'est le cas aussi dans beaucoup d'entreprises. Combien de patrons sont capables de faire le constat de Zidane, et d'agir en conséquence ? » s’interroge l’édito.
Lire ici en intégralité l’édito du quotidien économique Les Echos
Quatre éléments sont mis en avant comme des enseignements dans la décision de Zizou : timing, motivation, humilité et vision. Quatre qualités que l’ex entraineur du Real Madrid aurait mis en pratique en décidant de quitter le club après un nouveau succès en Ligue de Champions, compétition la plus prestigieuse du football. Critiqué pour d’autres choix pendant l’année, il ne profite pas d’un succès pour essayer de faire oublier les difficultés. Il choisit de se retirer en estimant qu’il n’a plus d’idées pour renouveler la stratégie.
« Raison première invoquée par l'entraîneur pour partir : pour progresser, l'équipe du Real a besoin d'« un discours différent, de techniques différentes ». C'est donc au nom de la motivation des joueurs que Zidane a décidé de ne pas continuer. Dans un club de foot, l'envie de réussir est un moteur essentiel. C'est le cas aussi dans beaucoup d'entreprises. Combien de patrons sont capables de faire le constat de Zidane, et d'agir en conséquence ? » s’interroge l’édito.
Lire ici en intégralité l’édito du quotidien économique Les Echos