« Le service américain de vidéo en ligne Netflix a annoncé mardi 4 août qu'il allait désormais offrir jusqu'à un an de congé parental payé à ses employés, hommes ou femmes, après l'arrivée d'un nouvel enfant » annonce l’agence France presse (AFP). « Nous introduisons une politique de congé illimité pour les nouveaux mamans et papas, qui leur permet de prendre autant de temps qu'ils veulent dans la première année suivant la naissance ou l'adoption d'un enfant » confirme le groupe sur son site américain et canadien.
« L'expérience montre que les gens ont de meilleures performances au travail quand ils ne s'inquiètent pas pour ce qu'il se passe à la maison » explique le groupe. Si l’argument est valable, l’agence de presse montre bien que la société essaye d’améliorer sa réputation.
L’image de Netflix n’est pas bonne. La société américaine, débarquée en Europe sous le regard méfiants des gouvernement a tendance à lui coller à la peau. Face à cette situation, le groupe développe une communication plus positive. Même aux Etats-Unis, où la guerre fait rage entre le groupe et les chaines ou producteurs locaux la réputation de la société n’est pas toujours très bonne.
« L'expérience montre que les gens ont de meilleures performances au travail quand ils ne s'inquiètent pas pour ce qu'il se passe à la maison » explique le groupe. Si l’argument est valable, l’agence de presse montre bien que la société essaye d’améliorer sa réputation.
L’image de Netflix n’est pas bonne. La société américaine, débarquée en Europe sous le regard méfiants des gouvernement a tendance à lui coller à la peau. Face à cette situation, le groupe développe une communication plus positive. Même aux Etats-Unis, où la guerre fait rage entre le groupe et les chaines ou producteurs locaux la réputation de la société n’est pas toujours très bonne.
Netflix et d’autres, une forme de concurrence
L’agence de presse explique que ces derniers tems « beaucoup d'entreprises américaines ont mis la main à la poche ces derniers mois pour améliorer le sort de leurs salariés, dans un pays où les seuils sociaux légaux sont très bas, voire inexistants. »
C’est notamment le cas de Wal-Mart, MacDonald’s, Gap ou Microsoft qui ont pris des décisions dans le domaine social ou des ressources humaines. Des annonces qui visent aussi à « donner des arguments pour attirer le personnel le plus compétent » continue l’Afp qui ajoute que « dans la Silicon Valley, (…) les entreprises rivalisent sur les avantages offerts à leurs salariés afin de les retenir chez elles. »
C’est notamment le cas de Wal-Mart, MacDonald’s, Gap ou Microsoft qui ont pris des décisions dans le domaine social ou des ressources humaines. Des annonces qui visent aussi à « donner des arguments pour attirer le personnel le plus compétent » continue l’Afp qui ajoute que « dans la Silicon Valley, (…) les entreprises rivalisent sur les avantages offerts à leurs salariés afin de les retenir chez elles. »