Chaque contrat est une victoire pour Airbus. La signature pour un montant total de 3,3 milliards d’une commande de trente appareils a vite été rendue public par la société européenne. C’est la compagnie aérienne du Vietnam Vietjet qui signé pour la livraison ces Airbus 321. Déjà équipé de vingt-neuf avions de la gamme A320, la société reste fidèle à l’avionneur en misant sur lui pour répondre à une stratégie de développement de ses activités.
Rude concurrence sur le Moyen Orient et l’Asie
« Dans le même temps, Jet Airways (Inde) a pour sa part commandé 75 Boeing 737 pour un montant estimé à 6,5 milliards d'euros. «C'est la plus grosse commande de l'histoire de Jet Airways», a souligné dans un communiqué la compagnie indienne qui possède une flotte de 115 avions » lit on dans Le Parisien, comme pour nuancer la bonne nouvelle pour Airbus.
Par ailleurs, continu le quotidien, « La compagnie Emirates de Dubaï a pour sa part annoncé la signature avec l'américain GE Aviation d'un contrat de 14 milliards d'euros, le «plus gros» de son histoire, pour la maintenance, la réparation et la révision pendant 12 ans des réacteurs de ses 150 Boeing 777. Elle a également signé un contrat de 33 millions d'euros avec GE Aviation pour la maintenance d'équipements électriques et de l'avionique sur ses Boeing 777. »
La concurrence est rude dans la région du Moyen-Orient et de l’Asie où la demande explose. D’après les estimations de l’avionneur européen dans les vingt prochaines années la région du Moyen-Orient va avoir besoin d’environ 2 500 appareils pour une valeur marchande dépassant les 500 milliards d’euros. Dans cette guerre des contrats, l’effet d’entrainement est essentiel. Plus l’image d’Airbus sera positive auprès des compagnies en pleine croissance, plus le groupe réussira à concurrencer Boeing qui profite d’une avance non négligeable.
Par ailleurs, continu le quotidien, « La compagnie Emirates de Dubaï a pour sa part annoncé la signature avec l'américain GE Aviation d'un contrat de 14 milliards d'euros, le «plus gros» de son histoire, pour la maintenance, la réparation et la révision pendant 12 ans des réacteurs de ses 150 Boeing 777. Elle a également signé un contrat de 33 millions d'euros avec GE Aviation pour la maintenance d'équipements électriques et de l'avionique sur ses Boeing 777. »
La concurrence est rude dans la région du Moyen-Orient et de l’Asie où la demande explose. D’après les estimations de l’avionneur européen dans les vingt prochaines années la région du Moyen-Orient va avoir besoin d’environ 2 500 appareils pour une valeur marchande dépassant les 500 milliards d’euros. Dans cette guerre des contrats, l’effet d’entrainement est essentiel. Plus l’image d’Airbus sera positive auprès des compagnies en pleine croissance, plus le groupe réussira à concurrencer Boeing qui profite d’une avance non négligeable.