2,59% de réduction ce n’est pas grand-chose. Mais sur une opération d’une quinzaine de milliards ça commence à chiffrer. « Au terme de deux mois d’intenses tractations, le groupe français de luxe a obtenu l’accord du conseil d’administration de Tiffany pour modifier « les termes du contrat de fusion » avec le joaillier new-yorkais au prix de rachat de 131,50 dollars (112 euros) par action, ont annoncé les deux groupes, par communiqué, jeudi 29 octobre. Ce montant remplacera celui de 135 dollars par action prévu dans un premier accord de rachat signé voilà presque un an, le 24 novembre 2019, et approuvé par l’assemblée générale des actionnaires de Tiffany, le 4 février 2020 » détaille Le Monde.
De 16,2 milliards prévus, la valorisation pour l’opération se fera pour 425 millions de moins et en janvier 2021 au lieu de mai dernier. « Ce compromis met « un terme à toutes les procédures judiciaires » en cours entre LVMH et Tiffany. Le groupe de luxe avait d’abord entamé une bataille avec M. Farah, au printemps 2020. La pandémie due au coronavirus commençait alors à mettre à terre l’économie mondiale et à faire chuter le titre du joaillier. En mars, d’après le groupe américain, son acquéreur français avait d’abord cherché à acheter des actions à moindre prix, à Wall Street. Quitte à renoncer à sa clause dite « de standstill » qui, précisément, lui interdisait cette pratique. Déjà, bien qu’il s’en soit défendu par communiqué, le 23 mars, le groupe de M. Arnault cherchait à réduire la facture, selon Tiffany » appuie Le Monde. Le bras de fer annoncé et le retrait de LVMH visaient donc vraisemblablement à faire baisser le prix.
De 16,2 milliards prévus, la valorisation pour l’opération se fera pour 425 millions de moins et en janvier 2021 au lieu de mai dernier. « Ce compromis met « un terme à toutes les procédures judiciaires » en cours entre LVMH et Tiffany. Le groupe de luxe avait d’abord entamé une bataille avec M. Farah, au printemps 2020. La pandémie due au coronavirus commençait alors à mettre à terre l’économie mondiale et à faire chuter le titre du joaillier. En mars, d’après le groupe américain, son acquéreur français avait d’abord cherché à acheter des actions à moindre prix, à Wall Street. Quitte à renoncer à sa clause dite « de standstill » qui, précisément, lui interdisait cette pratique. Déjà, bien qu’il s’en soit défendu par communiqué, le 23 mars, le groupe de M. Arnault cherchait à réduire la facture, selon Tiffany » appuie Le Monde. Le bras de fer annoncé et le retrait de LVMH visaient donc vraisemblablement à faire baisser le prix.