Source : Pixabay, image libre de droits.
A l’usine Smart France à Hambach, en Moselle, des salariés se sont vus proposés le maintien de leur emploi jusqu’en 2020, à une condition : passer aux 39 heures. Les salariés doivet rendre leur décision.
« Améliorer la compétitivité du site »
Un article en ligne du journal L’Expansion souligne cette proposition fait aux salariés de Hambach sur un éventuel retour aux 39 heures, « en pleine polémique autour d'une remise en cause des 35 heures. »
Comme le dit l’article, ce serait un « pur hasard de calendrier », selon la direction de l’usine de Moselle, « pourtant elle intervient deux jours après la remise au Premier ministre d'un rapport très attendu sur la réforme du code du travail. »
L’article de L’Expansion poursuit, affirmant que « les salariés de Smart sont invités à dire "oui" ou "non" ce vendredi à un accord négocié entre leurs syndicats et la direction de cette filiale du groupe allemand Daimler. » Le groupe connait don un tournant dans son histoire, car aucune proposition salariale de ce type n’avait vu le jour jusqu’ici.
Concernant le besoin d’effectifs et de travail, l’article de L’Expansion explique que « Smart France, qui produit chaque année quelque 100 000 véhicules biplaces dans cette usine située aux confins de la Lorraine, de l'Alsace et de l'Allemagne, doit participer à l'automne au lancement d'un nouveau modèle. » Le papier ajoute : « La direction veut profiter de cette période d'activité soutenue pour améliorer la compétitivité du site. »
L’article précise : « A l'occasion des négociations annuelles obligatoires sur les salaires, elle a proposé aux salariés de passer aux 39 heures de travail hebdomadaire par étapes. En contrepartie de l'effort consenti par les salariés (39 heures payées 37 heures et réduction des RTT pour les cadres), ceux-ci se verraient garantir le maintien des emplois jusqu'en 2020. Concrètement, la direction prévoit une augmentation mensuelle de 120 euros brut, ainsi qu'une prime exceptionnelle de 1000 euros versée en deux fois sur deux ans. Elle s'est aussi engagée à embaucher 50 intérimaires en CDI entre octobre 2015 et fin 2017. »
Comme le dit l’article, ce serait un « pur hasard de calendrier », selon la direction de l’usine de Moselle, « pourtant elle intervient deux jours après la remise au Premier ministre d'un rapport très attendu sur la réforme du code du travail. »
L’article de L’Expansion poursuit, affirmant que « les salariés de Smart sont invités à dire "oui" ou "non" ce vendredi à un accord négocié entre leurs syndicats et la direction de cette filiale du groupe allemand Daimler. » Le groupe connait don un tournant dans son histoire, car aucune proposition salariale de ce type n’avait vu le jour jusqu’ici.
Concernant le besoin d’effectifs et de travail, l’article de L’Expansion explique que « Smart France, qui produit chaque année quelque 100 000 véhicules biplaces dans cette usine située aux confins de la Lorraine, de l'Alsace et de l'Allemagne, doit participer à l'automne au lancement d'un nouveau modèle. » Le papier ajoute : « La direction veut profiter de cette période d'activité soutenue pour améliorer la compétitivité du site. »
L’article précise : « A l'occasion des négociations annuelles obligatoires sur les salaires, elle a proposé aux salariés de passer aux 39 heures de travail hebdomadaire par étapes. En contrepartie de l'effort consenti par les salariés (39 heures payées 37 heures et réduction des RTT pour les cadres), ceux-ci se verraient garantir le maintien des emplois jusqu'en 2020. Concrètement, la direction prévoit une augmentation mensuelle de 120 euros brut, ainsi qu'une prime exceptionnelle de 1000 euros versée en deux fois sur deux ans. Elle s'est aussi engagée à embaucher 50 intérimaires en CDI entre octobre 2015 et fin 2017. »