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Source : Pixabay, image libre de droits.
Un article en ligne du Point, d’après une dépêche AFP, explique que « la fracture territoriale s'aggrave en Ile-de-France avec des zones qui s'enfoncent dans la pauvreté » d’après le Secours catholique, qui réclame un « changement radical dans la politique d'aménagement ».
L’article souligne que « dans cette région qui regroupe huit départements du plus riche (Hauts-de-Seine) au plus pauvre (Seine-Saint-Denis), 15 % (1,8 million) des 12 millions d'habitants disposent de moins de 990 euros par mois par unité de consommation et la moitié d'entre eux, de moins de 750 euros, selon un rapport de l'association publié lundi. »
L’article souligne que « dans cette région qui regroupe huit départements du plus riche (Hauts-de-Seine) au plus pauvre (Seine-Saint-Denis), 15 % (1,8 million) des 12 millions d'habitants disposent de moins de 990 euros par mois par unité de consommation et la moitié d'entre eux, de moins de 750 euros, selon un rapport de l'association publié lundi. »
Plus de personnes pauvres et un niveau de pauvreté qui s’aggrave
Ainsi, l’article ajoute que « de 2004 à 2012, la proportion des ménages pauvres y a augmenté deux fois plus vite qu'en France métropolitaine (+ 5 points contre + 2,6). »
Hervé du Souich, président du Secours catholique Ile-de-France, précise que dans tous les départements à l'exception de Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian. Il y a plus de personnes pauvres et leur niveau de pauvreté s'aggrave. » Il ajoute : « On veut lancer un cri d'alarme : jusqu'où on va continuer dans ce sens-là ? »
Lire l'intégralité de l'article du Point ici.
Hervé du Souich, président du Secours catholique Ile-de-France, précise que dans tous les départements à l'exception de Paris et les Hauts-de-Seine, « les revenus fiscaux des 10 % des ménages les plus modestes ont moins progressé au cours des dix dernières années que le revenu médian. Il y a plus de personnes pauvres et leur niveau de pauvreté s'aggrave. » Il ajoute : « On veut lancer un cri d'alarme : jusqu'où on va continuer dans ce sens-là ? »
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