Proposer une ligne politique, c’est proposer des priorités et argumenter autour des choix qui sont faits. Ainsi quand Fabien Roussel s’exprime à la Fête de l’Humanité pour affirmer qu’il préfère défendre une « gauche du travail » plutôt que « celle des allocations », c’est une ligne politique sans propositions concrètes ou mesures appelées de ses vœux. Mais à voir les réactions de ses alliés au sein de la Nupes, cette ligne est presque devenue une nouvelle ligne de fracture.
« Le secrétaire national du PCF souhaite offrir aux Français "un travail et un salaire et sortir d’un système de revenus de substitution, de RSA et d’allocations chômage". Les réactions ont été vives. "Mettre comme ça un clivage entre les gens qui travaillent et les gens qui ont les allocs, c’est un discours réactionnaire. Moi, ça m’interpelle forcément", déclare Marine Tondelier, porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. L’ancien candidat marque aussi régulièrement sa singularité sur la question animale, la sécurité et le nucléaire » rapporte France Info .
Au-delà des oppositions intestines la Nupes, il n’est pas neutre que l’opposition entre travail et allocations suscitent tant de réactions. Et peu importe d’ailleurs que Fabien Roussel précise ensuite qu’il estime qu’on ne fait que « survivre » avec les minimas sociaux et qu’il faut que le travail fasse mieux vivre, ce serait donc une position « réactionnaire ».
De la même manière, on se souvient que François Ruffin avait suscité beaucoup de critiques dans son camp politique fin aout en appelant la gauche à renouer avec le « vote populaire », les campagnes et la définition de priorités. Les élus les plus proches de Jean-Luc Mélenchon avaient alors chargé d’un ton unanime. « Le peuple est dans les grandes villes autant qu'à la campagne. Le fédérer dans sa diversité autour d'un idéal commun d'émancipation, c'est le combat historique de la gauche. Nous le menons avec jean-Luc Mélenchon. Diviser, opposer, c'est la logique de l'adversaire. C'est une impasse » avait répondu Bastien Lachaud, député et militant mélenchoniste de toujours.
« Le secrétaire national du PCF souhaite offrir aux Français "un travail et un salaire et sortir d’un système de revenus de substitution, de RSA et d’allocations chômage". Les réactions ont été vives. "Mettre comme ça un clivage entre les gens qui travaillent et les gens qui ont les allocs, c’est un discours réactionnaire. Moi, ça m’interpelle forcément", déclare Marine Tondelier, porte-parole d’Europe Écologie-Les Verts. L’ancien candidat marque aussi régulièrement sa singularité sur la question animale, la sécurité et le nucléaire » rapporte France Info .
Au-delà des oppositions intestines la Nupes, il n’est pas neutre que l’opposition entre travail et allocations suscitent tant de réactions. Et peu importe d’ailleurs que Fabien Roussel précise ensuite qu’il estime qu’on ne fait que « survivre » avec les minimas sociaux et qu’il faut que le travail fasse mieux vivre, ce serait donc une position « réactionnaire ».
De la même manière, on se souvient que François Ruffin avait suscité beaucoup de critiques dans son camp politique fin aout en appelant la gauche à renouer avec le « vote populaire », les campagnes et la définition de priorités. Les élus les plus proches de Jean-Luc Mélenchon avaient alors chargé d’un ton unanime. « Le peuple est dans les grandes villes autant qu'à la campagne. Le fédérer dans sa diversité autour d'un idéal commun d'émancipation, c'est le combat historique de la gauche. Nous le menons avec jean-Luc Mélenchon. Diviser, opposer, c'est la logique de l'adversaire. C'est une impasse » avait répondu Bastien Lachaud, député et militant mélenchoniste de toujours.