Un nouveau palier dans la mobilité est en passe d'être franchi à Montrouge. Dans cette ville francilienne se déroule une expérimentation des trottinettes "Knot". "Knot", c'est le nom de la start-up alsacienne, sélectionnée par la Société du Grand Paris, à l'initiative de cette expérience. Cinq stations de trottinettes y attendent leurs usagers. Comme les Vélibs, le système est basé sur le partage, la location coûtant 50 centimes par heure.
Mais qu'apportent ces trottinettes par rapport aux autres moyens de déplacement déjà existants (voitures, vélos, métros, bus, etc.) ? Surtout à Montrouge, déjà bien desservie ; avec l'arrivée du nouveau métro, la ville comptera bientôt trois lignes au total. En réalité, la trottinette accélère encore les trajets effectués. Elle permet d'accomplir le « dernier kilomètre », jusque-là parcouru à pied, entre la sortie de la station jusqu'à son lieu de destination. « Emprunter la trottinette plutôt que marcher permet d'économiser du temps. On passera ainsi de 15 à 5 minutes entre la mairie de Montrouge (ligne 4) jusqu'à la future ligne 15 », explique Carole Hirigoyen, la maire adjointe de la ville. Pouvoir « trottiner » en sortant du métro améliore donc la qualité de trajet de l'usager. Et, au-delà de la praticité, l'objectif affiché sans ambages est d'encourager les Franciliens à délaisser leur voiture.
Les trottinettes rassemblent plusieurs atouts. On les loue depuis une application smartphone. En acier, plutôt qu'en aluminium, elles sont robustes tout en restant maniables. L'épaisseur de leurs roues amortit les chocs sur les pavés ou face à une bordure de trottoir. Ces trottinettes sont également équipées contre le vol ; étant connectées, il est possible de les localiser en cas de disparition. Une garantie de 150 euros assure leur retour dans les stations.
Se plaçant dans la roue de Montrouge, Châtillon devrait être la prochaine ville à expérimenter les trottinettes Knot.
Cette solution a été sélectionnée dans le cadre de l'appel à projet « Le Grand Paris de la mobilité » de la Société du Grand Paris et d'Île-de-France Mobilités.
Mais qu'apportent ces trottinettes par rapport aux autres moyens de déplacement déjà existants (voitures, vélos, métros, bus, etc.) ? Surtout à Montrouge, déjà bien desservie ; avec l'arrivée du nouveau métro, la ville comptera bientôt trois lignes au total. En réalité, la trottinette accélère encore les trajets effectués. Elle permet d'accomplir le « dernier kilomètre », jusque-là parcouru à pied, entre la sortie de la station jusqu'à son lieu de destination. « Emprunter la trottinette plutôt que marcher permet d'économiser du temps. On passera ainsi de 15 à 5 minutes entre la mairie de Montrouge (ligne 4) jusqu'à la future ligne 15 », explique Carole Hirigoyen, la maire adjointe de la ville. Pouvoir « trottiner » en sortant du métro améliore donc la qualité de trajet de l'usager. Et, au-delà de la praticité, l'objectif affiché sans ambages est d'encourager les Franciliens à délaisser leur voiture.
Les trottinettes rassemblent plusieurs atouts. On les loue depuis une application smartphone. En acier, plutôt qu'en aluminium, elles sont robustes tout en restant maniables. L'épaisseur de leurs roues amortit les chocs sur les pavés ou face à une bordure de trottoir. Ces trottinettes sont également équipées contre le vol ; étant connectées, il est possible de les localiser en cas de disparition. Une garantie de 150 euros assure leur retour dans les stations.
Se plaçant dans la roue de Montrouge, Châtillon devrait être la prochaine ville à expérimenter les trottinettes Knot.
Cette solution a été sélectionnée dans le cadre de l'appel à projet « Le Grand Paris de la mobilité » de la Société du Grand Paris et d'Île-de-France Mobilités.