La bagatelle de 2,6 millions de dollars par mois pour Jamie Dimon. Le banquier le mieux payé de Wall Street en 2018 est le patron de JP Morgan Chase. Il devrait toucher 31 millions de dollars pour l’année 2018, soit 5,1% de plus que l’année précédente. « Cette rémunération se décompose d'un salaire de base de 1,5 million de dollars, inchangé, auquel s'ajoutent 29,5 millions de dollars de bonus et de stock-options basés sur la performance de l'établissement. Il percevra 5 millions sur ces 29,5 millions dans l'immédiat, indique la firme dans un document adressé au gendarme de la Bourse (SEC). C'est la plus plus grosse rémunération jamais perçue par M. Dimon, un des banquiers les plus puissants de Wall Street, depuis qu'il a pris les commandes de JPMorgan en 2005. Mais il ne s'agit pas de la plus grosse rémunération d'un banquier à Wall Street. Avant la crise des subprimes en 2007, le patron de Goldman Sachs de l'époque Lloyd Blankfein avait touché une rémunération de 100 millions de dollars. » précise BFMTV.
Cette annonce peut paraitre surprenante dans la mesure où l’action de la banque est descendu de 9,4% en 2018, notamment à cause de l’inquiétude des investisseurs sur la spéculation des établissements bancaires. Mais cette baisse n’a pas porté préjudice au patron de JP Morgan Chase puisque l’indice du secteur bancaire de Wall Street a de son côté chuté de 19,6% durant l’année.
S’il est loin des niveaux de rémunération de l’ancien patron de Goldman Sachs, Dimon a retrouvé le niveau de rémunération qu’il avait avant la crise. Son précédent record de 30 millions de dollars avait d’ailleurs été pour l’année précédent la crise financière. « JPMorgan, première banque américaine en termes d'actifs, a enregistré en 2018 un bénéfice net de 32,5 milliards de dollars et en a reversé 28,5 milliards à ses actionnaires sous la forme de dividendes et de rachats d'actions » précise BFM.
Cette annonce peut paraitre surprenante dans la mesure où l’action de la banque est descendu de 9,4% en 2018, notamment à cause de l’inquiétude des investisseurs sur la spéculation des établissements bancaires. Mais cette baisse n’a pas porté préjudice au patron de JP Morgan Chase puisque l’indice du secteur bancaire de Wall Street a de son côté chuté de 19,6% durant l’année.
S’il est loin des niveaux de rémunération de l’ancien patron de Goldman Sachs, Dimon a retrouvé le niveau de rémunération qu’il avait avant la crise. Son précédent record de 30 millions de dollars avait d’ailleurs été pour l’année précédent la crise financière. « JPMorgan, première banque américaine en termes d'actifs, a enregistré en 2018 un bénéfice net de 32,5 milliards de dollars et en a reversé 28,5 milliards à ses actionnaires sous la forme de dividendes et de rachats d'actions » précise BFM.