Le mois d’aout tant attendu va s’avérer être un recul pour les hôtels. L’annonce de l’instauration d’un passe sanitaire dès le mois d’aout puis de façon encore plus restrictive au mois de septembre est une mauvaise nouvelle. « En difficulté à cause des restrictions sanitaires, 70 % des hôtels parisiens indépendants pourraient fermer à nouveau leurs portes au mois d’août, a déclaré ce lundi le président du Groupement national des indépendants hôtellerie et restauration (GNI) Paris Ile-de-France, Pascal Mousset. «Aujourd’hui, 40 % des hôtels parisiens sont fermés au mois de juillet. Dans les quinze jours, on estime que 70 % des hôtels parisiens vont refermer, faute de réservation», a-t-il estimé sur BFM Business, en se basant sur des sondages menés auprès des adhérents du GNI, n’incluant pas les grands groupes hôteliers de la capitale » pointe Libération.
Avec des échanges internationaux très ralentis, les hôtels en ville, et particulièrement parisiens, pâtissent du succès des destinations rurales et campagnardes des Français. « Depuis plus d’un an et demi, on assiste à une sorte de “Paris bashing” où l’on dépeint les villes comme étant des endroits à fuir. L’année dernière déjà, nous n’avions pas la clientèle française parce qu’on leur disait de partir de se mettre au vert. Et maintenant que les frontières sont un peu plus ouvertes, cela reste compliqué pour les touristes de venir (…) Quand je vois qu’il y a eu un plan spécifique pour le tourisme en montagne, je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu aussi un plan de sauvetage pour Paris, sachant que nous vivons essentiellement du tourisme », explique une responsable du GNI.
Mais ailleurs en France aussi les hôtels estiment être les premiers touchés. Car si les déplacements sont possibles, le passe pour les établissements encourage à louer des logements particuliers et y vivre sans se soucier des nouvelles contraintes.
Avec des échanges internationaux très ralentis, les hôtels en ville, et particulièrement parisiens, pâtissent du succès des destinations rurales et campagnardes des Français. « Depuis plus d’un an et demi, on assiste à une sorte de “Paris bashing” où l’on dépeint les villes comme étant des endroits à fuir. L’année dernière déjà, nous n’avions pas la clientèle française parce qu’on leur disait de partir de se mettre au vert. Et maintenant que les frontières sont un peu plus ouvertes, cela reste compliqué pour les touristes de venir (…) Quand je vois qu’il y a eu un plan spécifique pour le tourisme en montagne, je ne comprends pas pourquoi il n’y a pas eu aussi un plan de sauvetage pour Paris, sachant que nous vivons essentiellement du tourisme », explique une responsable du GNI.
Mais ailleurs en France aussi les hôtels estiment être les premiers touchés. Car si les déplacements sont possibles, le passe pour les établissements encourage à louer des logements particuliers et y vivre sans se soucier des nouvelles contraintes.