Source Engie
« Gérard Mestrallet n’est pas près de quitter le siège d’Engie. De très bonne source, l’Elysée et Bercy ont acté sa prolongation comme président non exécutif du géant de l’énergie pendant deux ans, après l’échéance de son mandat en mai prochain. A cette date, les fonctions seront dissociées : l’actuel PDG deviendra président et Isabelle Kocher, aujourd’hui numéro deux, prendra la direction générale » annonce en exclusivité le journal Les Echos.
Si l’information était confirmée, ces décisions devront être validées par le conseil d’administration le 24 février et votées en mai par l’assemblée générales.
Si l’information était confirmée, ces décisions devront être validées par le conseil d’administration le 24 février et votées en mai par l’assemblée générales.
Situation exceptionnelle, mesure exceptionnelle
« Lors de la nomination d’Isabelle Kocher comme directrice générale déléguée, qui avait conduit à écarter le numéro deux, Jean-François Cirelli, en octobre 2014, le PDG avait pourtant affirmé haut et fort devant son conseil d’administration qu’il laisserait son siège en mai 2016. A l’époque, l’Etat s’était opposé à toute prolongation. Le PDG répète aujourd’hui qu’il n’est candidat à rien. « C’est au conseil de décider », a-t-il encore déclaré mi-janvier lors de ses vœux à la presse » lit-on plus loin.
Son maintien comme président pourrait être justifié par la volonté d’opérer une transition en douceur avec Isabelle Kocher, la protégée de Gérard Mestrallet. « Dès l’automne 2014, certains, dans le camp de Jean-François Cirelli ou à la CGT, le premier syndicat du groupe, avaient soupçonné le PDG de pousser la candidature d’Isabelle Kocher précisément pour pouvoir être prolongé, avec l’idée qu’elle ne serait pas prête à l’échéance » rappellent Les Echos.
La mission s’annonce difficile pour la nouvelle DG qui doit installer son autorité tout en s’efforçant de sortir de l’ombre du président Mestrallet.
Lire ici en intégralité les informations des Echos
Son maintien comme président pourrait être justifié par la volonté d’opérer une transition en douceur avec Isabelle Kocher, la protégée de Gérard Mestrallet. « Dès l’automne 2014, certains, dans le camp de Jean-François Cirelli ou à la CGT, le premier syndicat du groupe, avaient soupçonné le PDG de pousser la candidature d’Isabelle Kocher précisément pour pouvoir être prolongé, avec l’idée qu’elle ne serait pas prête à l’échéance » rappellent Les Echos.
La mission s’annonce difficile pour la nouvelle DG qui doit installer son autorité tout en s’efforçant de sortir de l’ombre du président Mestrallet.
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