D’après la Fédération du E-Commerce et de la Vente à Distance (FEVAD), les consommateurs français ont dépensé plus de 51 milliards d’euros à l’occasion de transaction en ligne au cours de l’année 2013. Les acteurs du commerce connecté ne peuvent que se réjouir de ces bons chiffres qui poursuivent une tendance amorcée il y a plusieurs années déjà.
En 2011 en effet, le montant des ventes effectuées sur internet progressait déjà de 22 %. En 2012, la FEVAD enregistrait 19 % d’augmentation. En 2013, la tendance a observé un léger ralentissement, mais confirmé la hausse avec une croissance de 13,5 % des montants de ventes. La progression exponentielle du commerce en ligne pourrait donc approcher de son de niveau plateau.
Car les montants totaux des achats ont certes augmenté, et le nombre de transactions a bien établi un nouveau record en dépassant les 600 millions annuels. Mais le montant individuel des transactions est fréquemment moins élevé : l’internaute a dépensé ainsi en moyenne 84,5 euros par achat en 2013, alors qu’il en dépensait 87,5 en 2012. Les chiffres de la consommation en ligne publiée par la FEVAD sont donc le reflet d’un contexte économique incertain.
Malgré la conjoncture, le commerce en ligne reste toutefois optimiste. Alors que les commerçants traditionnels déplorent la sous-performance des soldes d’hiver en ce début d’année 2014, les quelque 138 000 sites internet commerçant ont résolument bénéficié d’une plus grande indulgence de la part du marché. Un constat étayé par le nombre de nouvelles boutiques en ligne créées en 2013 : au nombre de 20 000, elles sont en augmentation de 17 %.
Pour préserver cet avantage, reste maintenant à fidéliser sa clientèle des magasins dématérialisés. À n’en pas douter, cela doit passer par une maturation des pratiques pratiques du commerce en ligne. Car celles-ci accusent encore quelques lacunes transparence. Au mois de janvier, UFC Que Choisir signalait par exemple des dérives concernant l’affichage des prix pendant les périodes de soldes. Alain Bazot, président de l’association, dénonçait ainsi les « illusionnistes de la hausse du pouvoir d’achat », pointant ainsi du doigt ces sites qui faisait monter leur prix quelques semaines avant les soldes pour pouvoir afficher des démarques considérables par la suite.
Si de telles stratégies de pricing pouvaient passer inaperçues à une époque où les consommateurs découvraient encore l’achat sur internet, il y a fort à parier qu’elles subiront à l’avenir la sanction des consommateurs plus familiers et avertis.
En 2011 en effet, le montant des ventes effectuées sur internet progressait déjà de 22 %. En 2012, la FEVAD enregistrait 19 % d’augmentation. En 2013, la tendance a observé un léger ralentissement, mais confirmé la hausse avec une croissance de 13,5 % des montants de ventes. La progression exponentielle du commerce en ligne pourrait donc approcher de son de niveau plateau.
Car les montants totaux des achats ont certes augmenté, et le nombre de transactions a bien établi un nouveau record en dépassant les 600 millions annuels. Mais le montant individuel des transactions est fréquemment moins élevé : l’internaute a dépensé ainsi en moyenne 84,5 euros par achat en 2013, alors qu’il en dépensait 87,5 en 2012. Les chiffres de la consommation en ligne publiée par la FEVAD sont donc le reflet d’un contexte économique incertain.
Malgré la conjoncture, le commerce en ligne reste toutefois optimiste. Alors que les commerçants traditionnels déplorent la sous-performance des soldes d’hiver en ce début d’année 2014, les quelque 138 000 sites internet commerçant ont résolument bénéficié d’une plus grande indulgence de la part du marché. Un constat étayé par le nombre de nouvelles boutiques en ligne créées en 2013 : au nombre de 20 000, elles sont en augmentation de 17 %.
Pour préserver cet avantage, reste maintenant à fidéliser sa clientèle des magasins dématérialisés. À n’en pas douter, cela doit passer par une maturation des pratiques pratiques du commerce en ligne. Car celles-ci accusent encore quelques lacunes transparence. Au mois de janvier, UFC Que Choisir signalait par exemple des dérives concernant l’affichage des prix pendant les périodes de soldes. Alain Bazot, président de l’association, dénonçait ainsi les « illusionnistes de la hausse du pouvoir d’achat », pointant ainsi du doigt ces sites qui faisait monter leur prix quelques semaines avant les soldes pour pouvoir afficher des démarques considérables par la suite.
Si de telles stratégies de pricing pouvaient passer inaperçues à une époque où les consommateurs découvraient encore l’achat sur internet, il y a fort à parier qu’elles subiront à l’avenir la sanction des consommateurs plus familiers et avertis.