Il est prévu que la nouvelle entité soit baptisée Jacobs Douwe Egberts, Mondelez demeurant actionnaire minoritaire de cette nouvelle entreprise avec 49 % des parts. Le siège social de cette nouvelle société s’établira aux Pays-Bas. Avec un chiffre d’affaires consolidé de 7 milliards de dollars, Mondelez et Douwe Egerts Master Blenders devraient ainsi devenir les numéros 1 du marché du café en grain et en dosette. Preuve de la solidité de l’ancrage de la marque Nespresso, Nescafé reste toutefois leader sur le marché spécifique des dosettes, devant la Jacobs Douwe Egberts nouvellement créée.
Plusieurs raisons expliquent le rapprochement stratégique de Mondelez et DEMB. Tout d’abord, Mondelez sort d’une période de contreperformance économique marquée. En l’espace d’une année, son bénéfice net est ainsi passé de 536 millions de dollars à 163 millions de dollars. Mondelez a depuis engagé un plan de restructuration visant à économiser quelque 1,5 milliard de dollars annuellement d’ici 2018. Ce qui doit conduire à la suppression de nombreux emplois.
Par ailleurs Mondelez et DEMB semblent s’être accordé sur le constat que des économies d’échelles et le développement d’une image de marque forte étaient indispensables pour concurrencer efficacement le leader du marché. Ce n’est donc, en toute vraisemblance, plus qu’une question de temps avant qu’une nouvelle marque mondiale de produit à base de café ne fasse son apparition dans les rayons des supermarchés. Un scénario que la bourse semble d’ailleurs avoir validé : mercredi en milieu de journée le titre de Mondelez à la bourse de Wall Street a bondi de 7,89 points.
Plusieurs raisons expliquent le rapprochement stratégique de Mondelez et DEMB. Tout d’abord, Mondelez sort d’une période de contreperformance économique marquée. En l’espace d’une année, son bénéfice net est ainsi passé de 536 millions de dollars à 163 millions de dollars. Mondelez a depuis engagé un plan de restructuration visant à économiser quelque 1,5 milliard de dollars annuellement d’ici 2018. Ce qui doit conduire à la suppression de nombreux emplois.
Par ailleurs Mondelez et DEMB semblent s’être accordé sur le constat que des économies d’échelles et le développement d’une image de marque forte étaient indispensables pour concurrencer efficacement le leader du marché. Ce n’est donc, en toute vraisemblance, plus qu’une question de temps avant qu’une nouvelle marque mondiale de produit à base de café ne fasse son apparition dans les rayons des supermarchés. Un scénario que la bourse semble d’ailleurs avoir validé : mercredi en milieu de journée le titre de Mondelez à la bourse de Wall Street a bondi de 7,89 points.