L’initiative est annoncée comme un engagement écologique mais la logique commerciale ne fait pas de doute. Bel annonce lancer ses premiers produits sans lait. Une surprise pour le groupe connu dans le monde entier pour ses fromages. Le groupe qui commercialise notamment la Vache qui rit, Babybel et Boursin annonce que les produits sans lait vont être développés pour ainsi diminuer son empreinte carbone. « "On sait que les protéines animales sont gourmandes en termes de CO2" alors "on végétalise nos gammes", a déclaré à l'AFP le PDG Antoine Fiévet, en marge d'une conférence de presse. Un Boursin 100% végétal - à base de matières grasses issues de la noix de coco et du colza - sera vendu à compter de la fin du mois aux Etats-Unis sur la plateforme Amazon Fresh, avant d'être étendu au reste des distributeurs américains, a rapporté Cécile Béliot, directrice générale adjointe du groupe » explique un article publié sur le site de BFMTV.
Une marque végétale va être lancée tandis que des Babybels sans lait s’apprête à être vendu aux États-Unis. Concernant la France et le reste du monde, aucune date de lancement n’a été annoncée.
Mais alors que l’objectif affiché est de limiter l’impact carbone, la logique est avant tout commercial. Car le groupe ne prévoit pas de diminuer la collecte de lait. Les 2 milliards de litres par an, et donc leur impact carbone, ne sont pas remis en question. Mais en parallèle l’offre végétale va monter en puissance en s’appuyant sur la demande croissance de produits sans lait ou véganes. La direction prévoit ainsi, d’après ce qui a été annoncé à l’Agence France presse, d’arriver à 50% de produits végétaux. Soit une croissance forte en global puisque le chiffre d’affaires sans ces nouvelles gammes était de 3,4 milliards d'euros l’an dernier.
Une marque végétale va être lancée tandis que des Babybels sans lait s’apprête à être vendu aux États-Unis. Concernant la France et le reste du monde, aucune date de lancement n’a été annoncée.
Mais alors que l’objectif affiché est de limiter l’impact carbone, la logique est avant tout commercial. Car le groupe ne prévoit pas de diminuer la collecte de lait. Les 2 milliards de litres par an, et donc leur impact carbone, ne sont pas remis en question. Mais en parallèle l’offre végétale va monter en puissance en s’appuyant sur la demande croissance de produits sans lait ou véganes. La direction prévoit ainsi, d’après ce qui a été annoncé à l’Agence France presse, d’arriver à 50% de produits végétaux. Soit une croissance forte en global puisque le chiffre d’affaires sans ces nouvelles gammes était de 3,4 milliards d'euros l’an dernier.