Pour une fois qu’un billet ou une pièce vaut plus en matière qu’en valeur marchande. L’apparition d’un billet de zéro euro en Allemagne attire l’attention sur une initiative qui n’est pourtant pas totalement originale. « Non, les billets de zéro euro n’ont pas été inventés pour faire baisser le sentiment de précarité en Europe, comme l’on pourrait cyniquement le faire croire. En revanche, leur multiplication depuis trois ans témoigne d’un réel engouement, notamment en Allemagne, où les collectionneurs raffolent de ces "petites coupures" » raconte BFMTV .
La chaine d’info en continu explique ainsi que les premiers billets à visée symbolique ont été inventés par un auvergnant qui avait imprimé des billets avec des monuments français pour mettre en valeur le patrimoine français. « Ce chef d’entreprise n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai, puisqu’il s’était auparavant spécialisé dans la production de médailles souvenir, en partenariat avec la Monnaie de Paris. Il s’est ensuite tourné vers l’impression de "faux" billets – en toute légalité » explique l’article.
S’ils ne valent rien comme billet, pour s’en procurer il faut les acheter au prix de deux euros. Une idée futée qui a rencontré un grand succès et fait rapidement parler d’elle jusqu’à l’étranger. « En Allemagne, les billets de zéro euro sont ainsi particulièrement populaires. La cathédrale de Cologne ou le château de Berlin, possèdent par exemple un exemplaire dédié. Les billets sont imprimés avec les mêmes caractéristiques que les vraies coupures, par une entreprise locale ayant reçu la bénédiction (ou plutôt l’homologation) de la Banque centrale européenne. Filigrane, hologrammes, numéro de sécurité individuel…la ressemblance est frappante. Seule différence : le papier utilisé n’est pas celui des vrais billets, ce qui permet aux coupures de zéro euro de ne pas être détectés par les machines automatiques comme étant un moyen de paiement » nous rassure BFMTV.
La chaine d’info en continu explique ainsi que les premiers billets à visée symbolique ont été inventés par un auvergnant qui avait imprimé des billets avec des monuments français pour mettre en valeur le patrimoine français. « Ce chef d’entreprise n’en est d’ailleurs pas à son coup d’essai, puisqu’il s’était auparavant spécialisé dans la production de médailles souvenir, en partenariat avec la Monnaie de Paris. Il s’est ensuite tourné vers l’impression de "faux" billets – en toute légalité » explique l’article.
S’ils ne valent rien comme billet, pour s’en procurer il faut les acheter au prix de deux euros. Une idée futée qui a rencontré un grand succès et fait rapidement parler d’elle jusqu’à l’étranger. « En Allemagne, les billets de zéro euro sont ainsi particulièrement populaires. La cathédrale de Cologne ou le château de Berlin, possèdent par exemple un exemplaire dédié. Les billets sont imprimés avec les mêmes caractéristiques que les vraies coupures, par une entreprise locale ayant reçu la bénédiction (ou plutôt l’homologation) de la Banque centrale européenne. Filigrane, hologrammes, numéro de sécurité individuel…la ressemblance est frappante. Seule différence : le papier utilisé n’est pas celui des vrais billets, ce qui permet aux coupures de zéro euro de ne pas être détectés par les machines automatiques comme étant un moyen de paiement » nous rassure BFMTV.