La consigne est bien passée auprès du gouvernement, rester optimiste, annoncer surtout des bonnes nouvelles à quelques semaines de la primaire de l’opposition et quelques mois de la présidentielle.
Invité de l’émission Le Grand Jury RTL/ Le Figaro / LCI, le ministre de l’Economie et des Finances, a bien mis en place la consigne : « Les indications que je peux avoir, c'est que, au-delà des problèmes du tourisme qui sont la conséquence en particulier d'actes terroristes, au-delà des interrogations sur, par exemple, les conséquences du Brexit, nous aurons un troisième trimestre qui sera meilleur que le deuxième » a-t-il expliqué avant d’annoncer que le gouvernement tablait sur une croissance de l’ordre de 1,5% pour l’année 2016.
La veille de l’annonce du projet de loi de finances de 2017, l’annonce a toute son importance tant économiquement que politiquement avec son incidence sur la courbe de l’emploi. « Mais il a refusé d'évoquer l'inversion de la courbe du chômage à laquelle François Hollande a lié une nouvelle candidature à la présidentielle de 2017, estimant que l'expression était désormais "considérée comme à côté de la plaque". "Ce qui compte, c'est que le chômage baisse." Le gouvernement maintient également sa prévision d'un déficit public à 2,7% en 2017, malgré les dépenses nouvelles qui font dire aux candidats de la droite à la présidentielle que ce chiffre ne pourra pas être respecté » rapporte La Tribune.fr.
Sur l’épineuse question du déficit budgétaire et de la pression mise par Bruxelles pour passer en dessous de la barre des 3%, le ministre a affirmé que l’objectif était tenable, sous entendant ensuite que les propositions de la droite n’étaient pas compatibles avec cet engagement. « Nous avons pris un certain nombre de décisions (...) qui nous permettent à la fois de continuer à baisser les impôts, un milliard de baisse de plus pour les ménages, de continuer à faire en sorte que le poids pour les entreprises des charges diminue, pour qu'elles créent plus d'emplois encore et que le chômage diminue, et de continuer à diminuer les déficits » a résumé Michel Sapin.
Invité de l’émission Le Grand Jury RTL/ Le Figaro / LCI, le ministre de l’Economie et des Finances, a bien mis en place la consigne : « Les indications que je peux avoir, c'est que, au-delà des problèmes du tourisme qui sont la conséquence en particulier d'actes terroristes, au-delà des interrogations sur, par exemple, les conséquences du Brexit, nous aurons un troisième trimestre qui sera meilleur que le deuxième » a-t-il expliqué avant d’annoncer que le gouvernement tablait sur une croissance de l’ordre de 1,5% pour l’année 2016.
La veille de l’annonce du projet de loi de finances de 2017, l’annonce a toute son importance tant économiquement que politiquement avec son incidence sur la courbe de l’emploi. « Mais il a refusé d'évoquer l'inversion de la courbe du chômage à laquelle François Hollande a lié une nouvelle candidature à la présidentielle de 2017, estimant que l'expression était désormais "considérée comme à côté de la plaque". "Ce qui compte, c'est que le chômage baisse." Le gouvernement maintient également sa prévision d'un déficit public à 2,7% en 2017, malgré les dépenses nouvelles qui font dire aux candidats de la droite à la présidentielle que ce chiffre ne pourra pas être respecté » rapporte La Tribune.fr.
Sur l’épineuse question du déficit budgétaire et de la pression mise par Bruxelles pour passer en dessous de la barre des 3%, le ministre a affirmé que l’objectif était tenable, sous entendant ensuite que les propositions de la droite n’étaient pas compatibles avec cet engagement. « Nous avons pris un certain nombre de décisions (...) qui nous permettent à la fois de continuer à baisser les impôts, un milliard de baisse de plus pour les ménages, de continuer à faire en sorte que le poids pour les entreprises des charges diminue, pour qu'elles créent plus d'emplois encore et que le chômage diminue, et de continuer à diminuer les déficits » a résumé Michel Sapin.