Le tourisme français va souffrir du Coronavirus. Sans que l’on parvienne à évaluer les effets qu’aura le Coronavirus du point de vue sanitaire, en économie la situation est bien plus claire. Les annulations de vols, les inquiétudes des marchés financiers sont autant de marqueurs clairs et chiffrés de l’impact du virus. « Inquiet de l'impact du coronavirus sur la croissance mondiale, Bruno Le Maire a affirmé dimanche que l'épidémie produisait d'ores et déjà des effets non négligeables sur le tourisme en France. « Nous avons moins de touristes, bien sûr, en France, environ 30 %, 40 % de mois qu'attendu », a expliqué le ministre de l'Economie au micro de CNBC. Au cours de l'interview donnée lors du G20 organisé à Riyad (Arabie saoudite), Bruno Le Maire restrictions des vols en provenance de Chine : « Vous avez 2,7 millions de touristes chinois chaque année en France. Ce ne sera pas la même chose, bien entendu, en 2020 » » rapporte Le Parisien-Aujourd’hui en France.
A long terme, l’autre aspect économique qui pourrait être déréglé par la crise sanitaire, est lié aux importations chinoises. Un élément qui, potentiellement, aurait beaucoup d’influence sur la croissance que la baisse du nombre de touristes. « Dans une interview à l'AFP, Bruno Le Maire a évoqué plus largement un « risque réel sur la croissance mondiale », « véritable préoccupation de l'ensemble des membres du G20 ». Dans ce contexte, « nous avons décidé […] de garantir un suivi attentif et quotidien de l'épidémie et de son développement […] assuré par la présidence du G20 et par le Fonds monétaire international » » relaye le quotidien français. Avec plus de 2 600 morts, dont une grande majorité en Chine, les premiers cas en Italie et en France suscitent l’inquiétude.
A long terme, l’autre aspect économique qui pourrait être déréglé par la crise sanitaire, est lié aux importations chinoises. Un élément qui, potentiellement, aurait beaucoup d’influence sur la croissance que la baisse du nombre de touristes. « Dans une interview à l'AFP, Bruno Le Maire a évoqué plus largement un « risque réel sur la croissance mondiale », « véritable préoccupation de l'ensemble des membres du G20 ». Dans ce contexte, « nous avons décidé […] de garantir un suivi attentif et quotidien de l'épidémie et de son développement […] assuré par la présidence du G20 et par le Fonds monétaire international » » relaye le quotidien français. Avec plus de 2 600 morts, dont une grande majorité en Chine, les premiers cas en Italie et en France suscitent l’inquiétude.