Un très bon Salon pour les professionnels. Avec une hausse des commandes de 13% par rapport à la dernière édition, le secteur aéronautique prouve une fois de plus qu’il parvient à garder un bon niveau. « Le chiffre d'affaires réalisé pendant le Salon par les professionnels représentant aussi l'industrie spatiale a atteint 150 milliards de dollars, contre 130 mds USD lors de la précédente édition en 2015 de cette grand-messe qui se tient tous les deux ans, ont indiqué dimanche les organisateurs » rapporte Challenges.
Boeing fait mieux que Airbus avec 74,8 milliards de commandes pour le premier et 39,7 milliards pour le second. De manière générale, du point de vue des contrats, c’est une bonne année donc. En revanche, en termes d’affluence c’est une déception « Le nombre de visiteurs professionnels (140.000) a reculé de 6% par rapport à 2015, une baisse attribuée par M. d'Arcimoles à des "restrictions budgétaires" dans de nombreuses entreprises ainsi qu'à l'état d'urgence en France » avance le magazine en s’appuyant sur les déclaration du responsable du salon.
Le contexte sécuritaire avec l’Etat d’urgence a aussi eu un impact négatif sur les visites touristiques, même si ce n’est pas la seule explication avancée par les organisateurs. « La première partie du salon s'est déroulée sous des températures caniculaires, avec un thermomètre montant à 35 degrés pendant cinq jours, et le mercure atteignant 50 degrés sur le tarmac. La fréquentation du grand public (180.000) a été en baisse d'environ 10%, selon les premières estimations. Du vendredi au dimanche, les visiteurs ont pu assister à un programme de vols de quatre heures trente alternant avions de combat, hélicoptères, avions d'affaires ou gros porteurs, et même la Patrouille de France » lit-on plus loin.
Lire en intégralité l’article du magazine Challenges
Boeing fait mieux que Airbus avec 74,8 milliards de commandes pour le premier et 39,7 milliards pour le second. De manière générale, du point de vue des contrats, c’est une bonne année donc. En revanche, en termes d’affluence c’est une déception « Le nombre de visiteurs professionnels (140.000) a reculé de 6% par rapport à 2015, une baisse attribuée par M. d'Arcimoles à des "restrictions budgétaires" dans de nombreuses entreprises ainsi qu'à l'état d'urgence en France » avance le magazine en s’appuyant sur les déclaration du responsable du salon.
Le contexte sécuritaire avec l’Etat d’urgence a aussi eu un impact négatif sur les visites touristiques, même si ce n’est pas la seule explication avancée par les organisateurs. « La première partie du salon s'est déroulée sous des températures caniculaires, avec un thermomètre montant à 35 degrés pendant cinq jours, et le mercure atteignant 50 degrés sur le tarmac. La fréquentation du grand public (180.000) a été en baisse d'environ 10%, selon les premières estimations. Du vendredi au dimanche, les visiteurs ont pu assister à un programme de vols de quatre heures trente alternant avions de combat, hélicoptères, avions d'affaires ou gros porteurs, et même la Patrouille de France » lit-on plus loin.
Lire en intégralité l’article du magazine Challenges