Quelles conséquences économiques sur la Grande-Bretagne au lendemain du vote pour la sortie de l’Union européenne ? C’est à cette question complexe que tous les éditorialistes et bloggeurs ont tenté de répondre ce dernier mois. Sans que la réponse ne soit encore facile à donner, des bribes d’informations sortent petit à petit des observateurs de la vie économique britannique.
C’est notamment le cas du cabinet Markit qui a publié le 22 juillet son indice des directeurs d’achat « PMI » pour juillet. A 47,7 points – le positif se situant à 50 – c’est le plus faible niveau depuis avril 2009 et la crise financière. « L’indice PMI pour le secteur des services, très important pour l’économie britannique, s’est notamment affiché à 47,4 points en juillet, après 52,3 points en juin, au plus bas depuis plus de sept ans. Les données ont été collectées entre le 12 et le 21 juillet. Il s’agit encore de données provisoires et Markit publiera ses indices définitifs début août » rapporte le journal Le Monde.
C’est notamment le cas du cabinet Markit qui a publié le 22 juillet son indice des directeurs d’achat « PMI » pour juillet. A 47,7 points – le positif se situant à 50 – c’est le plus faible niveau depuis avril 2009 et la crise financière. « L’indice PMI pour le secteur des services, très important pour l’économie britannique, s’est notamment affiché à 47,4 points en juillet, après 52,3 points en juin, au plus bas depuis plus de sept ans. Les données ont été collectées entre le 12 et le 21 juillet. Il s’agit encore de données provisoires et Markit publiera ses indices définitifs début août » rapporte le journal Le Monde.
Pas de chiffres officiels avant des mois
« Ces indicateurs de référence étaient très attendus car ils donnent une première image précise de l’état de l’économie britannique depuis le référendum du 23 juin en faveur d’une sortie de l’Union européenne (UE). Il faudra en effet encore des semaines voire des mois pour que les effets du Brexit se traduisent dans les statistiques officielles publiées par l’Office des statistiques nationales (ONS) » continue le quotidien de l’après-midi.
Sans constituer une preuve de la situation économique du pays au lendemain du vote qui a secoué l’Europe, c’est une tendance crédible qui est prise au sérieux par les investisseurs et observateurs de l’activité britannique. « Les économistes se demandent maintenant si le pays pourra échapper à une récession, qui se caractérise par deux trimestres consécutifs de contraction du produit intérieur brut (PIB) » conclue Le Monde.
Sans constituer une preuve de la situation économique du pays au lendemain du vote qui a secoué l’Europe, c’est une tendance crédible qui est prise au sérieux par les investisseurs et observateurs de l’activité britannique. « Les économistes se demandent maintenant si le pays pourra échapper à une récession, qui se caractérise par deux trimestres consécutifs de contraction du produit intérieur brut (PIB) » conclue Le Monde.