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Trop de dépenses publiques selon Manuel Valls




Vendredi 23 Octobre 2015


Le Premier ministre Manuel Valls a affirmé sa détermination concernant les réformes du gouvernement revendique sa détermination, en annonçant que la loi réformant le code du travail serait adoptée avant l’été 2016.



Source : Pixabay, image libre de droits.
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En réaffirmant que la loi réformant le code du travail et que la loi sur le numérique d’Emmanuel Macron seraient bientôt adoptées, le Premier ministre Manuel Valls a affirmé sa détermination concernant les réformes à venir.
 
Un article en ligne du journal Le Monde souligne les enjeux qui se présentent au gouvernement face aux réformes attendues par les français.

Réformes : « s’appuyer sur les Français »

L’article du Monde explique que « les divisions de la gauche, celles des syndicats avec le boycott lundi de la conférence sociale par la CGT n’impressionnent pas le premier ministre », qui a déclaré : « elles ne nous ont pas empêchés de réformer »,
 
Car le Premier ministre « entend s’appuyer sur les Français » qui « acceptent beaucoup plus les réformes qu’on ne le dit ». L’article souligne qu’ « il veut aussi consolider les syndicats réformistes car le dialogue social est le seul moyen de créer une adhésion ».
 
L’article du Monde ajoute que « Manuel Valls, qui avait récemment théorisé son réformisme social, entend en faire une arme politique face au thème de la rupture qu’il juge dangereux », comme le laissent entendre ses propos, lorsqu’il avait pointé « la menace qui pèserait sur des milliers d’emplois du fait de la fin des subventions européennes » « si le Nord-Pas-de-Calais–Picardie passe au Front national, c’est la fin d’un modèle, la fin d’une certaine vision de la France. »
 
En outre, « conscient du scepticisme de l’opinion, le premier ministre va loin dans l’autocritique », précise l’article du Monde, qui cite les propos du Premier ministre qui avait reconnu  que « la hausse de la fiscalité, notamment locale, a beaucoup contribué à la montée du rejet d’un système. »
 
Et selon l’article, « ce n’est pas la première fois que Manuel Valls s’en prend au trop d’impôts », même si la critique est désormais plus lourde: « La hausse de la fiscalité sur les ménages a pénalisé les personnes âgées, elle a fait des dégâts considérables sur les classes moyennes, elle a créé une forme de rupture des Français avec l’impôt. »

Joseph Martin




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