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"Ce matin, à 7h10, plusieurs dizaines de militants de Greenpeace France se sont introduits sur le site de Tricastin, dans le département de la Drôme pour alerter sur le vieillissement de la centrale nucléaire et exiger sa fermeture au plus tôt", explique dans un communiqué l'ONG Greenpeace le 21 février dernier.
Aux couleurs de l’entreprise « Tricasto », "des activistes non-violents ont balisé les lieux et démarré symboliquement le démantèlement de Tricastin avec deux engins de chantier, des brouettes et des marteaux géants en mousse", assure Greenpeace, qui précise qu'à "l’intérieur du site, d’autres militants ont déployé des banderoles « Centrale périmée » de 22 mètres de large pointant vers un des réacteurs". Le bâtiment d’une des piscines d’entreposage de combustible usagé a été entouré de rubalise « Démantèlement en cours »".
"D’ici 2025, près de 2/3 des réacteurs nucléaires français auront atteint 40 ans de fonctionnement", souligne l'ONG qui ajoute que "dans un rapport publié le 21 février elle expose l’ensemble des risques liés à une prolongation des centrales nucléaires."
Greenpeace demande ainsi "un calendrier de fermeture précis de tous les réacteurs nucléaires, pour protéger les populations et permettre la reconversion socio-économique des travailleurs et des territoires." En parallèle, il est urgent pour l'ONG "d’accélérer le développement des énergies renouvelables et des économies d’énergie pour remplacer progressivement les centrales mises à l’arrêt".
Greenpeace demande ainsi "un calendrier de fermeture précis de tous les réacteurs nucléaires, pour protéger les populations et permettre la reconversion socio-économique des travailleurs et des territoires." En parallèle, il est urgent pour l'ONG "d’accélérer le développement des énergies renouvelables et des économies d’énergie pour remplacer progressivement les centrales mises à l’arrêt".
