Tout le monde en rêve sans y croire, mais Thalès l’a fait. « Sur les six premiers mois de l'année, le groupe français a réalisé des ventes en progression de 8,7% à 8,4 milliards d'euros. Ce "très fort rebond" de son activité dépasse même les 8,2 milliards de la même période de 2019. Alors que le reprise est fragile pour de nombreux secteurs, ses activités d'identité et de sécurité numériques ont compensé le déclin des résultats de l'aérospatial. Le PDG Patrice Caine a d'ailleurs salué un "très très bon niveau de prises de commandes". Le chiffre d'affaires au premier semestre a atteint 8,4 milliards d'euros, en hausse de 9,8% sur un an en variation organique » résume La Tribune.
Logiquement une telle prouesse alors que l’année 2020 a été un vrai creux, donne des progressions impressionnantes. « De son côté, le bénéfice net consolidé part du groupe a bondi de 565% à 433 millions d'euros, encore 120 millions inférieur toutefois au montant d'il y a deux ans, a précisé Thales dans un communiqué vendredi. Le bénéfice d'exploitation (Ebit) a lui progressé sur un an de 121% à 768 millions d'euros, avec un résultat net consolidé part du groupe de 433 millions d'euros. Patrice Caine a estimé que ces éléments témoignaient de "la résilience de Thales dans un contexte qui reste malgré tout perturbé". Selon Thales, "sur une base pro forma", sa rentabilité opérationnelle "revient dès à présent à un niveau proche de 2019, la forte progression des résultats du transport et des activités d'identité et de sécurité numériques compensant quasi totalement la baisse importante des résultats du secteur aérospatial" » ajoute le site économique.
Avec une légère inquiétude sur les semi-conducteurs, le ralentissement de l’aérospatial et le retour d’une conjoncture stable, la direction table sur un chiffre d’affaires compris au-dessus de 17,5 milliards d’euros. Un niveau impressionnant pour un industriel qui avait pris de plein fouet l’arrêt de l’activité au printemps 2020.
Logiquement une telle prouesse alors que l’année 2020 a été un vrai creux, donne des progressions impressionnantes. « De son côté, le bénéfice net consolidé part du groupe a bondi de 565% à 433 millions d'euros, encore 120 millions inférieur toutefois au montant d'il y a deux ans, a précisé Thales dans un communiqué vendredi. Le bénéfice d'exploitation (Ebit) a lui progressé sur un an de 121% à 768 millions d'euros, avec un résultat net consolidé part du groupe de 433 millions d'euros. Patrice Caine a estimé que ces éléments témoignaient de "la résilience de Thales dans un contexte qui reste malgré tout perturbé". Selon Thales, "sur une base pro forma", sa rentabilité opérationnelle "revient dès à présent à un niveau proche de 2019, la forte progression des résultats du transport et des activités d'identité et de sécurité numériques compensant quasi totalement la baisse importante des résultats du secteur aérospatial" » ajoute le site économique.
Avec une légère inquiétude sur les semi-conducteurs, le ralentissement de l’aérospatial et le retour d’une conjoncture stable, la direction table sur un chiffre d’affaires compris au-dessus de 17,5 milliards d’euros. Un niveau impressionnant pour un industriel qui avait pris de plein fouet l’arrêt de l’activité au printemps 2020.