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Après plusieurs jours de violences au siège d'Air France, la première rencontre entre la direction et les pilotes s'est déroulée, une reprise des négociations.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, revient sur ces négociations, qui ont pour but d’ « éviter d'appliquer la totalité du plan de 2 900 suppressions de postes. »
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, revient sur ces négociations, qui ont pour but d’ « éviter d'appliquer la totalité du plan de 2 900 suppressions de postes. »
« Travailler ensemble »
Après « une réunion de deux heures avec le PDG d'Air France-KLM Alexandre de Juniac et celui d'Air France Frédéric Gagey », « Philippe Evain, président du SNPL Air France » a assuré à l’AFP que « ça s’est très bien passé », comme le souligne l’article du Point.
L’article ajoute qu’ « était présent le directeur des ressources humaines, Xavier Broseta, dont l'image de la chemise arrachée lundi par des salariés en colère a fait le tour du monde, éclipsant la manifestation inédite de 2 500 salariés et suscitant un concert d'indignations. »
Le Point souligne que « le deuxième syndicat de pilotes a demandé – sans succès – à la direction de ‘suspendre’ son plan, ‘une menace qui pèse sur les salariés’ et empêche de discuter sereinement. », ajoutant que « les négociations ont jusqu'à présent échoué sur la principale demande de la compagnie : faire voler les navigants une centaine d'heures de plus par an (+ 14 % à 18 % selon les vols), à salaire égal. »
L’article précise enfin que « faute d'accord, Air France a remisé son plan de productivité et de croissance initialement prévu, ‘Perform 2020’, et annoncé un plan ‘alternatif’ de réduction de voilure sur le long-courrier en deux phases : cinq avions en moins en 2016, des réductions de fréquences et la non-entrée dans la flotte de Boeing 787. Puis, en 2017, la sortie de neuf autres appareils et la fermeture de cinq lignes en Asie. En tout, la compagnie a chiffré le sureffectif à 2 900 postes (300 pilotes, 900 hôtesses et stewards, 1 700 au sol). »
L’article ajoute qu’ « était présent le directeur des ressources humaines, Xavier Broseta, dont l'image de la chemise arrachée lundi par des salariés en colère a fait le tour du monde, éclipsant la manifestation inédite de 2 500 salariés et suscitant un concert d'indignations. »
Le Point souligne que « le deuxième syndicat de pilotes a demandé – sans succès – à la direction de ‘suspendre’ son plan, ‘une menace qui pèse sur les salariés’ et empêche de discuter sereinement. », ajoutant que « les négociations ont jusqu'à présent échoué sur la principale demande de la compagnie : faire voler les navigants une centaine d'heures de plus par an (+ 14 % à 18 % selon les vols), à salaire égal. »
L’article précise enfin que « faute d'accord, Air France a remisé son plan de productivité et de croissance initialement prévu, ‘Perform 2020’, et annoncé un plan ‘alternatif’ de réduction de voilure sur le long-courrier en deux phases : cinq avions en moins en 2016, des réductions de fréquences et la non-entrée dans la flotte de Boeing 787. Puis, en 2017, la sortie de neuf autres appareils et la fermeture de cinq lignes en Asie. En tout, la compagnie a chiffré le sureffectif à 2 900 postes (300 pilotes, 900 hôtesses et stewards, 1 700 au sol). »