C’est reparti pour le télétravail, dans l’indifférence générale. Il y a bien d’autres sujets d’inquiétudes comme d’éventuelles fermetures ou restrictions supplémentaires en cas de pression excessive sur les hôpitaux. Et au contraire même, avec les questions délicates que pose le passe vaccinal, le recours fortement conseillé voire imposé au télétravail est un moyen d’échapper à des débats sans fin. « La décision était très attendue des employeurs, qui craignent une flambée de l’absentéisme lié aux contraintes d’isolement. Elle vient surtout tempérer une autre mesure moins appréciée des chefs d’entreprise, même s’ils s’y résignent : le renforcement du télétravail. À partir de ce lundi, les entreprises doivent se soumettre aux nouvelles règles érigées par le protocole national en entreprise (PNE), qui leur demande d’instaurer au minimum trois jours de télétravail hebdomadaire, pendant au moins trois semaines » avance Le Figaro.
Même mes plus réfractaires s’y sont faits alors que les entreprises sont encouragées quand elles le peuvent à mettre en place quatre jours de travail à distance. Une mesure qui doit leur permettre de respecter un protocole sanitaire qui, quand il n’est pas respecté, peut vite s’avérer onéreux. Des amendes peuvent aller jusqu’à 1 000 euros pour les salariés et 50 000 euros pour les entreprises. Un système d’amende plus efficace et menaçant que le recours à des jugements. « Au total, pour la plupart des grands groupes qui avaient déjà adopté le télétravail deux à trois jours par semaine, en accorder un ou deux de plus temporairement ne pose pas de grande difficulté. C’est le cas par exemple dans les banques et les compagnies d’assurances » appuie le quotidien.
Reste désormais à observer les effets de la vague Omicron sur les arrêts de travail et les baisses d’effectifs. Les sociétés publiques de transports ont déjà annoncé observer une augmentation des absences et disent craindre des effets sur les services.
Même mes plus réfractaires s’y sont faits alors que les entreprises sont encouragées quand elles le peuvent à mettre en place quatre jours de travail à distance. Une mesure qui doit leur permettre de respecter un protocole sanitaire qui, quand il n’est pas respecté, peut vite s’avérer onéreux. Des amendes peuvent aller jusqu’à 1 000 euros pour les salariés et 50 000 euros pour les entreprises. Un système d’amende plus efficace et menaçant que le recours à des jugements. « Au total, pour la plupart des grands groupes qui avaient déjà adopté le télétravail deux à trois jours par semaine, en accorder un ou deux de plus temporairement ne pose pas de grande difficulté. C’est le cas par exemple dans les banques et les compagnies d’assurances » appuie le quotidien.
Reste désormais à observer les effets de la vague Omicron sur les arrêts de travail et les baisses d’effectifs. Les sociétés publiques de transports ont déjà annoncé observer une augmentation des absences et disent craindre des effets sur les services.