On s’éloigne un peu de l’objectif de plein emploi mais le résultat n’est pas catastrophique. « Au deuxième trimestre, le taux de chômage a légèrement progressé, de 0,1 point par rapport au trimestre précédent, a annoncé ce vendredi matin l’Insee. Il est désormais estimé à 7,2%. Malgré ce retournement - le premier depuis le troisième trimestre 2021 -, le taux reste «inférieur de 0,2 point à son niveau du deuxième trimestre 2022 et de 3,3 points à son pic de mi-2015»,soulignent les statisticiens nationaux », rapporte Le Figaro .
L’Insee a comptabilisé 20 000 chômeurs de plus au deuxième trimestre pour un total de 2,2 millions de personnes. Un niveau quasi équivalent dans toutes les catégories avec une baisse notable de 5,1% chez les plus âgés. « En outre, le halo autour du chômage, soit les personnes souhaitant un emploi mais sans en rechercher ni être disponible pour en prendre un, reste lui aussi «quasi stable». 4,7% des personnes en âge d’être en emploi sont comptabilisées dans cette catégorie, en hausse de 0,1 point sur trois mois, indique l’Insee, qui souligne que la part des jeunes âgés de moins de 25 ans concernée a augmenté de près d’un point sur un an. Parallèlement, le sous-emploi progresse dans les mêmes proportions sur le trimestre, mais reste bien inférieur à son niveau pré-Covid. Le chômage de longue durée - les personnes cherchant depuis au moins un an - reste quant à lui stable : à 1,8%, il demeure à son plus faible niveau depuis 2009 », ajoute le quotidien.
La hausse de l’emploi chez les plus de 50 ans le place à un niveau historique tandis que la situation globale reste satisfaisante si on la compare avec les statistiques de ces 40 dernières années. « S’il s’agit presque du taux le plus bas depuis plus de quarante ans - le deuxième trimestre 1982 -, crise sanitaire mise à part, ce bon score ne satisfait toutefois pas l’exécutif, qui répète à l’envi son espoir d’arriver bientôt au plein-emploi. «Nous devons viser 80% de taux d'emploi d'ici les années qui viennent», a ainsi affirmé récemment le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, en marge des rencontres économiques d’Aix-en-Provence », ajoute Le Figaro.
L’Insee a comptabilisé 20 000 chômeurs de plus au deuxième trimestre pour un total de 2,2 millions de personnes. Un niveau quasi équivalent dans toutes les catégories avec une baisse notable de 5,1% chez les plus âgés. « En outre, le halo autour du chômage, soit les personnes souhaitant un emploi mais sans en rechercher ni être disponible pour en prendre un, reste lui aussi «quasi stable». 4,7% des personnes en âge d’être en emploi sont comptabilisées dans cette catégorie, en hausse de 0,1 point sur trois mois, indique l’Insee, qui souligne que la part des jeunes âgés de moins de 25 ans concernée a augmenté de près d’un point sur un an. Parallèlement, le sous-emploi progresse dans les mêmes proportions sur le trimestre, mais reste bien inférieur à son niveau pré-Covid. Le chômage de longue durée - les personnes cherchant depuis au moins un an - reste quant à lui stable : à 1,8%, il demeure à son plus faible niveau depuis 2009 », ajoute le quotidien.
La hausse de l’emploi chez les plus de 50 ans le place à un niveau historique tandis que la situation globale reste satisfaisante si on la compare avec les statistiques de ces 40 dernières années. « S’il s’agit presque du taux le plus bas depuis plus de quarante ans - le deuxième trimestre 1982 -, crise sanitaire mise à part, ce bon score ne satisfait toutefois pas l’exécutif, qui répète à l’envi son espoir d’arriver bientôt au plein-emploi. «Nous devons viser 80% de taux d'emploi d'ici les années qui viennent», a ainsi affirmé récemment le ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, en marge des rencontres économiques d’Aix-en-Provence », ajoute Le Figaro.