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Suppression de postes chez Alstom : des informations démenties




Mercredi 26 Août 2015


Le gouvernement vient de démentir des informations annonçant plusieurs licenciements chez Alstom, informations qui étaient parues dans le magazine L’Obs.



Source : Wikimedia Commons, image libre de droits.
Source : Wikimedia Commons, image libre de droits.
Il n’y a pas de licenciements prévus chez Alstom, a déclaré le gouvernement, après des informations parues dans le magazine L’Obs.
 
Un article en ligne du journal Les Echos annonce que « le gouvernement a démenti des informations du magazine l’Obs », selon lesquelles Alstom « prévoirait de supprimer 10.300 postes dans le monde, dont 2.000 en France, sur les 65.000 emplois concernés », à la suite du rachat de la branche énergie d’Alstom par l’entreprise General Electric, qui doit encore être validé par la Commission Européenne dans moins d’un mois.

Des informations démenties

L’article des Echos affirme que Ségolène Royal, la ministre de l’Ecologie et de l’Energie, a démenti ce mercredi  26 août auprès des journalistes les informations selon lesquelles il y aurait des suppressions de poste dans la société spécialisée dans les transports ferroviaires : « ’Ce que vous dites sur Alstom n’est pas encore du tout définitif’, a-t-elle dit aux journalistes en évoquant le maintien des commandes fermes de trains et l’engagement vers des transports propres qui « va redonner un nouveau souffle à toutes les entreprises qui travaillent pour le transport collectif. »
 
L’article souligne également la déclaration du ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, à la sortie du conseil des ministres : « Les chiffres sortis ce matin n’ont pas été du tout confirmés par Emmanuel Macron, tous les contrats et tous les marchés sur les grands enjeux  sont aujourd’hui confirmés »

D’après l’article des Echos, l’entreprise General Electric a renouvelé ses projets ambitieux concernant la branche énergie d’Alstom : « GE réaffirme son engagement de créer 1.000 emplois nets en France au cours des trois ans suivant la clôture de la fusion », selon les dires d’un « porte-parole du groupe américain », qui précise « que toute suppression de poste devrait être compensée par des créations pour respecter cet objectif. »

Joseph Martin




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