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Oublier la référence aux 35 heures pour repasser aux 39 heures dans la fonction publique et à 48 heures par semaine dans le privé : c’est le souhait de François Fillon.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, souligne les enjeux de ce souhait formulé par l’ancien Premier ministre.
Un article en ligne du journal Le Point, d’après une dépêche AFP, souligne les enjeux de ce souhait formulé par l’ancien Premier ministre.
« Il faut que tout le monde fasse un effort »
L’article du Point souligne que « selon les propositions de François Fillon, dans le privé, la loi se contenterait de fixer à 48 heures par semaine, selon la norme européenne, la durée maximale du temps de travail, le reste étant renvoyé à la négociation en entreprise. » L’article du journal poursuit, reprenant les propos de l’ancien Premier ministre, qui a affirmé « il faut que tout le monde fasse un effort ».
Sur RTL, François Fillon « a commenté les propositions avancées dans un livre, Faire, à paraître le 21 septembre, soulignant qu'"il y a un énorme besoin de liberté dans ce pays parce que depuis 30 ans on a accumulé les règles, les normes, les taxations, les impôts et les tabous », et ajoutant : « ça fait 20 ans qu'on aurait dû les faire » et que si « elles sont brutales par rapport à un pays qui est totalement immobile », elles « ne sont pas du tout brutales par rapport à nos voisins qui les ont réalisées quasiment tous avec succès ».
François Fillon a ajouté, selon Le Point : « Dire aujourd'hui que travailler deux ou trois heures de plus dans la fonction publique, c'est du sang et des larmes, qui le croit vraiment ? On travaillait 39 heures il y a dix ans, est-ce que la France et la société étaient malheureuses ? », avant de poursuivre : « Aujourd'hui pour sortir de la crise dans laquelle nous sommes, il faut que tout le monde fasse un effort. Et cet effort est totalement à notre portée. »
Sur RTL, François Fillon « a commenté les propositions avancées dans un livre, Faire, à paraître le 21 septembre, soulignant qu'"il y a un énorme besoin de liberté dans ce pays parce que depuis 30 ans on a accumulé les règles, les normes, les taxations, les impôts et les tabous », et ajoutant : « ça fait 20 ans qu'on aurait dû les faire » et que si « elles sont brutales par rapport à un pays qui est totalement immobile », elles « ne sont pas du tout brutales par rapport à nos voisins qui les ont réalisées quasiment tous avec succès ».
François Fillon a ajouté, selon Le Point : « Dire aujourd'hui que travailler deux ou trois heures de plus dans la fonction publique, c'est du sang et des larmes, qui le croit vraiment ? On travaillait 39 heures il y a dix ans, est-ce que la France et la société étaient malheureuses ? », avant de poursuivre : « Aujourd'hui pour sortir de la crise dans laquelle nous sommes, il faut que tout le monde fasse un effort. Et cet effort est totalement à notre portée. »