Le problème des retraites n’est toujours pas réglé. Il suit les gouvernements les uns après les autres alors qu’aucune solution n’a su satisfaire tous les acteurs. Les projets de loi et solutions ont du mal à convaincre les actifs. Dernière recette miracle en date, la loi de janvier 2014 a allongé la durée de cotisation d’un trimestre tous les trois ans « pour liquider une pension à taux plein et instaure une hausse progressive et modérée des cotisations vieillesse » explique le journal Les Echos.
D’après une enquête d’opinion réalisée par l’Institut CSA pour le Cercle des Epargnants, « 61 % des Français se déclarent inquiets et 56 % des actifs estiment qu’ils n’auront pas les ressources suffisantes pour vivre correctement une fois retraités. » Signe que le gouvernement actuel n’a pas non plus réussi à rassurer. Selon les catégories professionnelles et le patrimoine constitué, la part d’inquiets peut même dépasser la barre des 70%
D’après une enquête d’opinion réalisée par l’Institut CSA pour le Cercle des Epargnants, « 61 % des Français se déclarent inquiets et 56 % des actifs estiment qu’ils n’auront pas les ressources suffisantes pour vivre correctement une fois retraités. » Signe que le gouvernement actuel n’a pas non plus réussi à rassurer. Selon les catégories professionnelles et le patrimoine constitué, la part d’inquiets peut même dépasser la barre des 70%
Départ légal à 65 ans
« Le financement des retraites arrive ainsi en première position des sujets de préoccupation quant au système de protection sociale en France, à 60 %, devant l’assurance maladie (42 %) et l’aide au logement (23 %) » décrypte Les Echos.
Au chapitre des solutions, assez logiquement, aucune mesure ne fait l’unanimité. En première position avec 21%, c’est tout de même le recul de l’âge de départ de 62 à 65 ans qui est avancé. Ensuite arrive juste derrière l’épargne alors même que plus de la moitié des actifs interrogés estiment qu’ils ne réussiront pas à conserver suffisamment de ressources au moment de leur départ à la retraite. « 40 % des actifs jugent toutefois que ni le recul de l’âge légal de départ, ni le développement de l’épargne, ni la hausse du montant et de la durée des cotisations, ne pourra permettre de pérenniser le système des retraites... » conclue le quotidien économique.
Au chapitre des solutions, assez logiquement, aucune mesure ne fait l’unanimité. En première position avec 21%, c’est tout de même le recul de l’âge de départ de 62 à 65 ans qui est avancé. Ensuite arrive juste derrière l’épargne alors même que plus de la moitié des actifs interrogés estiment qu’ils ne réussiront pas à conserver suffisamment de ressources au moment de leur départ à la retraite. « 40 % des actifs jugent toutefois que ni le recul de l’âge légal de départ, ni le développement de l’épargne, ni la hausse du montant et de la durée des cotisations, ne pourra permettre de pérenniser le système des retraites... » conclue le quotidien économique.